eh bien il semble que ce que vous dites rejoints ce dont je parlais dans ma première intervention.
Pour moi le chien et l’enfant battus sont les victimes du même mal.
et ce mal à pour origine les racines de la culture des gens qui font ce mal. une incapacité à construire de l’affectif sur autre chose que de la domination de la souffrance de l’autre.
eh bien il semble que ce que vous dites rejoints ce dont je parlais dans ma première intervention.
Pour moi le chien et l’enfant battus sont les victimes du même mal.
et ce mal à pour origine les racines de la culture des gens qui font ce mal. une incapacité à construire de l’affectif sur autre chose que de la domination de la souffrance de l’autre.