QU’EST CE QU’UN "PROJET POLITIQUE" AU SENS D’UNE "GAUCHE COMMUNISTE" ?
15 septembre 2009, 21:59, par paul
je fonde le projet politique exactement au sens de organisation de la cité
sur une réflexion de fondement moral de la culture et de la "membritude" dans une société
la première question est donc de savoir ce qui définit le fait d’être membre d’une communauté : donc ça a pour implicite que toute société ne peut se concevoir que collectivement et que donc l’individualisme lui soit un principe contraire
donc
ça induit
le bien : l’intérêt général
le mal : l’individualisme égoïste
c’est juste un exemple
et évidemment, l’activité est ce qui définit les relations interindividuelle : donc le travail est le terme central de la membritude.
le projet ne peut pas se fonder sans une intégration des recherches en matière de fonctionnement de l’individu et du collectif
donc principe anthropologique générateur des dynamiques interdépendantes de tout fonctionnement de groupe : régulation culturelle des désirs et de la violence (donc renvoie à Nietzshe Freud et Girard) : la volonté de puissance, le désir mimétique, le bouc-émissaire, l’oedipe, la projection, le refoulé...
ça relance la fondation de la morale
par là dessus vient l’analyse sociologique donc Marx et tous les chercheurs qui sont venus après
Et puis
en matière de réflexion à la fois anthropologique et sociologique et morale
je pense que bon nombre de féministes sont à intégrer dans l’apport de réflexion fondamentale sur la fabrication de la première hiérarchisation de classe dans tout groupe social par le sexe
le nouveau projet doit se détacher de tout rapport au sexe culturel
je fonde le projet politique exactement au sens de organisation de la cité
sur une réflexion de fondement moral de la culture et de la "membritude" dans une société
la première question est donc de savoir ce qui définit le fait d’être membre d’une communauté : donc ça a pour implicite que toute société ne peut se concevoir que collectivement et que donc l’individualisme lui soit un principe contraire
donc
ça induit
le bien : l’intérêt général
le mal : l’individualisme égoïste
c’est juste un exemple
et évidemment, l’activité est ce qui définit les relations interindividuelle : donc le travail est le terme central de la membritude.
le projet ne peut pas se fonder sans une intégration des recherches en matière de fonctionnement de l’individu et du collectif
donc principe anthropologique générateur des dynamiques interdépendantes de tout fonctionnement de groupe : régulation culturelle des désirs et de la violence (donc renvoie à Nietzshe Freud et Girard) : la volonté de puissance, le désir mimétique, le bouc-émissaire, l’oedipe, la projection, le refoulé...
ça relance la fondation de la morale
par là dessus vient l’analyse sociologique donc Marx et tous les chercheurs qui sont venus après
Et puis
en matière de réflexion à la fois anthropologique et sociologique et morale
je pense que bon nombre de féministes sont à intégrer dans l’apport de réflexion fondamentale sur la fabrication de la première hiérarchisation de classe dans tout groupe social par le sexe
le nouveau projet doit se détacher de tout rapport au sexe culturel