Occupation contre la fermeture du centre IVG de Tenon (Paris 20ème). Via NPA.
18 octobre 2009, 01:02, par Michel TEBOUL
L’article sur l’IVG qui décrit le réel danger que court cette activité dans les hôpitaux contient néanmoins une erreur importante : le centre d’IVG de Broussais, le plus gros centre public de la région parisienne, que je dirige, n’est pas fermé depuis mai et n’a pas cessé d’accueillir des femmes en demande d’IVG. Nous avons travaillé normalement jusqu’en août, puis à cause de la fermeture en cours de l’hôpital Broussais, nous avons emménagé à Saint-Vincent de Paul. L’activité a été suspendue 5 semaines du fait du déménagement, mais nous accueillons à nouveau les femes en demande d’IVG, avec un délai de rendez-vous d’environ une semaine et avons les moyens d’assurer autant d’IVG que nous en faisions à Broussais.
Répandre l’idée de notre fermeture n’est pas rendre service aux femmes ni respecter une équipe qui se bat depuis toujours pour pratiquer cette activité avec la meilleure qualité possible, largement reconnue.
Néanmoins il faut rester vigilants, car le risque que nous perdions des moyens dans les restructurations-déménagements de notre groupe hospitalier est réel. je soutiens donc totalement les mouvements qui se lèvent ici et là pour défendre le droit d’accès à l’IVG, mais souhaitais juste rectifier cette erreur.
L’article sur l’IVG qui décrit le réel danger que court cette activité dans les hôpitaux contient néanmoins une erreur importante : le centre d’IVG de Broussais, le plus gros centre public de la région parisienne, que je dirige, n’est pas fermé depuis mai et n’a pas cessé d’accueillir des femmes en demande d’IVG. Nous avons travaillé normalement jusqu’en août, puis à cause de la fermeture en cours de l’hôpital Broussais, nous avons emménagé à Saint-Vincent de Paul. L’activité a été suspendue 5 semaines du fait du déménagement, mais nous accueillons à nouveau les femes en demande d’IVG, avec un délai de rendez-vous d’environ une semaine et avons les moyens d’assurer autant d’IVG que nous en faisions à Broussais.
Répandre l’idée de notre fermeture n’est pas rendre service aux femmes ni respecter une équipe qui se bat depuis toujours pour pratiquer cette activité avec la meilleure qualité possible, largement reconnue.
Néanmoins il faut rester vigilants, car le risque que nous perdions des moyens dans les restructurations-déménagements de notre groupe hospitalier est réel. je soutiens donc totalement les mouvements qui se lèvent ici et là pour défendre le droit d’accès à l’IVG, mais souhaitais juste rectifier cette erreur.