atteintes aux libertés publiques à la manifestation de Nice
21 janvier 2010, 17:31, par Copas
Solidaire face à cette intolérable agression contre les libertés les plus élémentaires.
Les atteintes aux libertés ont vidé de tout sens la propension du régime à se parer du drapeau des libertés et des droits démocratiques.
Ils étaient violents à l’extérieur, ils deviennent violents à l’intérieur de leurs états.
Il y a de l’absolutisme et une immense agressivité dans le Sarkozisme appliqué.
Se mettre au service des patrons, comme le fait le régime, c’est s’attaquer aux libertés démocratiques, agresser la population, la plonger dans l’insécurité.
Un régime bas, petit et mesquin comme tout régime autoritaire, doué d’une énorme agressivité quand il est critiqué, prêt à frapper, cogner, mettre en procès.
Un régime n’ayant aucun sens de l’humour, aucun sens du respect de l’autre, avide de s’entourer d’une soldatesque policière gigantesque et couteuse par paranoïa.
Nous avons eu récemment les formidables déploiements policiers qui ont entouré les déplacements du petit à la Réunion et à Perpignan ces derniers temps, avec de multiples exactions contre les libertés, et maintenant ces comportements là.
Faisant régner l’insécurité partout, agressant les libertés les plus élémentaires, dispendieux, au service des patrons, voilà le dernier monarque français...
Solidaire face à cette intolérable agression contre les libertés les plus élémentaires.
Les atteintes aux libertés ont vidé de tout sens la propension du régime à se parer du drapeau des libertés et des droits démocratiques.
Ils étaient violents à l’extérieur, ils deviennent violents à l’intérieur de leurs états.
Il y a de l’absolutisme et une immense agressivité dans le Sarkozisme appliqué.
Se mettre au service des patrons, comme le fait le régime, c’est s’attaquer aux libertés démocratiques, agresser la population, la plonger dans l’insécurité.
Un régime bas, petit et mesquin comme tout régime autoritaire, doué d’une énorme agressivité quand il est critiqué, prêt à frapper, cogner, mettre en procès.
Un régime n’ayant aucun sens de l’humour, aucun sens du respect de l’autre, avide de s’entourer d’une soldatesque policière gigantesque et couteuse par paranoïa.
Nous avons eu récemment les formidables déploiements policiers qui ont entouré les déplacements du petit à la Réunion et à Perpignan ces derniers temps, avec de multiples exactions contre les libertés, et maintenant ces comportements là.
Faisant régner l’insécurité partout, agressant les libertés les plus élémentaires, dispendieux, au service des patrons, voilà le dernier monarque français...