Fellation et cunnilingus plus dangereux que tabac et alcool ! (video)
5 mars 2010, 20:25, par Abou Mawal
OK, c’est drole, mais ça date d’il y a deux ans et ce n’est pas la première fois que
je réalise que des petites dépêches AFP sont rédigées de façon drôle, justement
dans le but qu’elles soient diffusées largement sur internet. Et ce n’est pas
toujours dans un but louable, mais c’est rarement évident.
Dans ce cas précis, l’évidence ne m’est apparue que quelques jours après en
lisant un article (dans l’excellent magazine Québécois, A Babord) sur le
Gardasil : http://www.ababord.org/spip.php?article403
Vous savez peut-être que les compagnies pharmaceutiques sont parmi
les plus riches au monde (avec les pétrolières et les vendeuses d’armes), mais
qu’elles ne découvrent plus aucune nouvelle drogue pour guérir de nouvelles
maladies. Elles sont donc réduites à inventer des drogues qui ne font pas de
mal ou qui guérissent des maladies imaginaires, ou presque. C’est très bien
décrit par Philippe Pignarre par exemple, dans ses livres.
C’est donc le cas de Merck Frosst qui vient de découvrir une drogue (le
Gardasil) qui immunise contre CERTAINES SOUCHES du virus du papillome humain
(VPH). C’est donc bien une drogue adminsitrée à des gens qui ne sont pas
malades mais à qui on arrive à faire peur en leur disant qu’ils vont peut-être
tomber malade s’ils ne la prennent pas. D’où la nécessité de faire de la
propagande sur ce virus. Et c’est vrai que depuis quelques mois j’en entends
parler de ce virus, beaucoup plus qu’avant, y compris dans cette
dépêche/blague. Alors comment ne pas croire que c’est le fruit d’une campagne
de propagande mise au point par l’empire Merck, alors que des études
indépendantes montrent que la dangerosité de ce virus est quasi nulle ?!
90% des personnes infectées éliminent naturellement le virus en moins de deux
ans, et si ce n’est pas le cas, les seules conséquences (regrettables mais pas
dramatiques) sont des verrues génitales et, c’est le plus grave, le
développement POSSIBLE d’un cancer du col de l’utérus (l’un des cancers les
plus rares et les moins mortels : 0.001% de la population), uniquement dans les
rares cas où le virus se propage pendant une dizaine d’années. De plus pour
lutter contre ce cancer, un dépistage est nécessaire et suffisant, et il est
nécessaire même en cas de prise du Gardasil, dont on n’a pas besoin du médicament.
Il va sans dire que le vaccin coûte une fortune et que la pression est grande
de la part de Marck pour qu’il soit rendu obligatoire et remboursé par tous
les systèmes d’assurance maladie dans le monde.
C’est la mode en ce moment : que ce soit les politiques ou les pharmaceutiques,
on nous fait peur avec de faux dangers pour nous vendre très cher de fausses
solutions (Gardasil ou Vigipirate) qui rapportent beaucoup à quelques escrocs
et ruinent au passage quelques vies humaines, dommages colatéraux d’un système
qui est censé être "pour notre bien"...
Par la suite, le prix Nobel a été décerné au découvreur de ce virus, le jury étant
sans doute sensible aux arguments sonnants et trébuchants des pharmaceutiques...
OK, c’est drole, mais ça date d’il y a deux ans et ce n’est pas la première fois que
je réalise que des petites dépêches AFP sont rédigées de façon drôle, justement
dans le but qu’elles soient diffusées largement sur internet. Et ce n’est pas
toujours dans un but louable, mais c’est rarement évident.
Dans ce cas précis, l’évidence ne m’est apparue que quelques jours après en
lisant un article (dans l’excellent magazine Québécois, A Babord) sur le
Gardasil : http://www.ababord.org/spip.php?article403
Vous savez peut-être que les compagnies pharmaceutiques sont parmi
les plus riches au monde (avec les pétrolières et les vendeuses d’armes), mais
qu’elles ne découvrent plus aucune nouvelle drogue pour guérir de nouvelles
maladies. Elles sont donc réduites à inventer des drogues qui ne font pas de
mal ou qui guérissent des maladies imaginaires, ou presque. C’est très bien
décrit par Philippe Pignarre par exemple, dans ses livres.
C’est donc le cas de Merck Frosst qui vient de découvrir une drogue (le
Gardasil) qui immunise contre CERTAINES SOUCHES du virus du papillome humain
(VPH). C’est donc bien une drogue adminsitrée à des gens qui ne sont pas
malades mais à qui on arrive à faire peur en leur disant qu’ils vont peut-être
tomber malade s’ils ne la prennent pas. D’où la nécessité de faire de la
propagande sur ce virus. Et c’est vrai que depuis quelques mois j’en entends
parler de ce virus, beaucoup plus qu’avant, y compris dans cette
dépêche/blague. Alors comment ne pas croire que c’est le fruit d’une campagne
de propagande mise au point par l’empire Merck, alors que des études
indépendantes montrent que la dangerosité de ce virus est quasi nulle ?!
90% des personnes infectées éliminent naturellement le virus en moins de deux
ans, et si ce n’est pas le cas, les seules conséquences (regrettables mais pas
dramatiques) sont des verrues génitales et, c’est le plus grave, le
développement POSSIBLE d’un cancer du col de l’utérus (l’un des cancers les
plus rares et les moins mortels : 0.001% de la population), uniquement dans les
rares cas où le virus se propage pendant une dizaine d’années. De plus pour
lutter contre ce cancer, un dépistage est nécessaire et suffisant, et il est
nécessaire même en cas de prise du Gardasil, dont on n’a pas besoin du médicament.
Il va sans dire que le vaccin coûte une fortune et que la pression est grande
de la part de Marck pour qu’il soit rendu obligatoire et remboursé par tous
les systèmes d’assurance maladie dans le monde.
C’est la mode en ce moment : que ce soit les politiques ou les pharmaceutiques,
on nous fait peur avec de faux dangers pour nous vendre très cher de fausses
solutions (Gardasil ou Vigipirate) qui rapportent beaucoup à quelques escrocs
et ruinent au passage quelques vies humaines, dommages colatéraux d’un système
qui est censé être "pour notre bien"...
Par la suite, le prix Nobel a été décerné au découvreur de ce virus, le jury étant
sans doute sensible aux arguments sonnants et trébuchants des pharmaceutiques...