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Les pays civilisés condamnent l’Iran et la Corée du Nord

Publie le samedi 26 juin 2010 par Open-Publishing
5 commentaires

Les pays civilisés du G8 ont terminé leur sommet en condamnant l’Iran et la Corée du Nord.

Les dirigeants de ces pays civilisés menés par les États-Unis où sévit toujours la peine de mort et où la paupérisation de la population va croissante ont besoin de pointer du doigt des pays étrangers pour garder le contrôle des peuples qu’ils président.

Évidemment que l’Iran et la Corée du Nord ne sont pas de parfaites démocraties.

Mais ces condamnations n’ont rien à voir avec la façon dont ces deux pays sont dirigés. En effet, le G8 tolèrent d’autres pays qui ne sont pourtant pas des modèles de démocratie.

Quand verra-t-on enfin apparaître quelque part un pays où la déclaration universelle des droits de l’Homme est véritablement appliquée afin que tous sans exception aient un revenu suffisant et une vie décente et heureuse ?

Peut-être lorsque l’hypocrisie cessera de régner en maître sur tout ce qui se passe.

http://www.cyberpresse.ca/dossiers/sommets-du-g8-g20/201006/26/01-4293458-le-g8-conclue-le-sommet-en-condamnant-liran-et-la-coree-du-nord.php

Messages

  • Les fameux "Droits de l’Homme" ne sont en fin de compte que les droits des Propriétaires. Il y aura bientôt 200 ans que quelqu’un a dit ça. Comme s’il avait craché en l’air... Il a dit aussi : "L’ignorance n’a jamais servi personne".

  • C’est surtout que le tous contre tous dans la bourgeoisie nécessitait de trouver quelque part quand même un point commun.

    Bingo ! l’Iran et la Corée du Nord !

    Le système international est en sale état, le capitalisme est en crise profonde et se déchire, il est pris dans une boucle infernale.

    La solution habituelle de compresser la classe populaire est au bout de son chemin, mais finalement ils continuent quand même, le dirigeant bourgeois est pavlovien, nourrit et shooté à haute dose depuis longtemps d’un taux de rentabilité global qui tond la société au delà de ses capacités, la crise et le désarroi de la bande de requins qui se réunit au G8 est profond.

    Ils sont au bout de l’impasse et aller plus loin est rentrer dans une sauvagerie sans issue claire, résultat ils se déchirent.

    Mais ils se réconcilient sur un point : ils veulent que la classe populaire paye et en même temps qu’elle continue de consommer. L’ensemble des différentes moutures de ce dilemme proposées par ce quarteron de délinquants est l’objet de leur paralysie et de la plongée dans le gouffre, la spirale sans contrôle de la crise.

    Mais, Bingo ! ils ont l’Iran et la Corée du Nord ! Comme Sarko a la burqa...

    • l’onu , les pays civilisés et le droit

      29/06/2010

      Le Liban appelle le Conseil de sécurité de l’ONU à mettre fin aux violations israéliennes de sa souveraineté ainsi qu’aux menaces proférées par Tel Aviv à son adresse, lit-on mardi dans une lettre du gouvernement libanais adressée au secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon.

      Depuis trois mois, les avions de l’Armée de l’air israélienne ont violé à 347 reprises l’espace aérien du Liban alors que ses frontières maritime et terrestre ont été violées 33 et 75 fois respectivement, indique la lettre adressée à M.Ban Ki-moon à la veille de son compte-rendu sur le respect de la résolution 1701 qu’il doit soumettre au Conseil de sécurité.

      Par ailleurs, la lettre appelle la communauté internationale à faire cesser les menaces israéliennes contre le pays du cèdre. Ces menaces déstabilisent le pays en créant un sentiment d’insécurité chez l’habitant, précise la lettre.

    • Les habitants des localités du Sud-Liban ont protesté contre les Forces Intérimaires des Nations-Unies (FINUL) qui ont mené des manœuvres ayant pour objectif : la protection de l’entité sioniste d’éventuelles attaques à la roquette et non pas la protection des civils libanais d’une nouvelle agression israélienne.

      Les habitants en colère ont bloqué les routes entre les localités de Tibnine, de Kfardounine et de Bir Salasel, et caillassé un véhicule de la FINUL.

      L’armée libanaise qui est intervenue, pour contenir la situation, avait proposé à la Finul d’intituler la manœuvre : "comment protéger les civils libanais en cas d’agression israélienne", et ce, conformément au rôle présumé de ses forces. Une proposition réfutée par la FINUL.

      Ce différend a retardé, à deux reprises, la tenue de ces manœuvres qui se sont enfin déroulées sans la participation de l’armée libanaise.

      Le porte-parole de la FINUL, Neeraj Singh, a rapporté que l’un de leurs soldats a été légèrement blessé par un caillou. Il a en outre minimisé ces manœuvres, prétendant qu’il s’agissait d’une journée de déploiement ordinaire pour nous assurer des capacités de nos soldats sur le terrain. Il a toutefois promis qu’il n’y aura pas d’activités similaires dans l’avenir.

      Une question vient se poser. Est-ce que la FINUL, aura-t-elle besoin, d’être rappelée, de temps à autre, à son rôle présumé au Sud-Liban ?!! ,
      al manar

      il est vrai que qur place nous appelons entre nous la finul la force israelienne des nations unies au Liban

    • pays civilisés France FINUL
      Les manœuvres militaires de la Finul au Sud-Liban qui ont suscité la colère des habitants demeurent aux yeux de beaucoup de Libanais comme étant « suspectes ». De par les déclarations libanaises, aussi bien officielles que partisanes, il semble fort qu’il est difficile pour les Libanais d’avaler la version d’un malentendu, comme voudrait le laisser croire les sources de la force onusienne.

      Signe de cette crispation est la réaction en personne du président de la république libanaise Michel Sleimane, lequel a pris la défense franche des habitants du Sud-Liban : « ils n’ont pas l’habitude de voir des manœuvres militaires exercées dans les ruelles, entre les maisons, même de la part de l’armée libanaise, qui ne s’infiltre jamais parmi les maisons » a-t-il affirmé, estimant que « les exercices militaires ne devraient nullement être exercés à l’intérieur des villages, mais loin des villages et des maisons, car la Finul doit défendre le Liban ».

      Alors que le porte-parole de la Finul, au Liban Niraj Sing, tentait de justifier ces manœuvres, arguant « qu’elles visaient à expérimenter les dispositions de la force à déployer ses capacités à tout moment », des observateurs libanais suivant de près la situation au Sud Liban maintiennent leurs suspicions sur leurs véritables objectifs.

      Sont d’abord mises en cause les assertions selon lesquelle elles ont été organisées en coordination avec l’armée libanaise, comme l’indiquent les sources de la Finul.
      « Ce sont des manœuvres et non des exercices ; car elles ont été exécutées dans les quartiers et entre les maisons et non dans les bases militaires de la Finul » a observé une source militaire ayant requis l’anonymat pour le quotidien libanais AlAkhbar, affirmant que l’armée avait auparavant rejeté leur contenu au motif « qu’elles reposent sur l’éventualité d’une attaque de missiles contre les territoires occupées,( Palestine occupée) sans prendre en considération une agressions israélienne » contre les régions libanaises.

      La source constate un changement de comportement de la force onusienne, depuis le départ de son ancien commandant le général italien Claudio Graciano, dont les déclarations et les condamnations des violations israéliennes incessantes et flagrantes de la résolution 1701 avaient suscité la colère des Israéliens. (Son remplacement a été facilement acquis).
      Et de souligner que son attitude était devenu « plus dure » aussi bien dans le traitement du dossier sécuritaire de la région, que dans ses liens avec l’armée libanaise, voire même dans ses relations avec les habitants.

      Selon un autre observateur libanais, ce sont particulièrement les unités espagnoles et françaises qui se comportent comme si elles étaient « une force de frappe », voie « une force d’intervention rapide », dans ce qui semble être une tentative de leur part de vouloir imposer une interprétation différente au texte qui régule les règles d’accrochages en cours depuis l’arrêt des hostilités en 2006 : « elles essaient d’effecteur des perquisitions et des déploiements, sans présence de l’armée libanaise ni de son feu vert, différemment de ce qui se faisait dans le passé. Rappelant à cet égard, lorsqu’une unité conjointe de ces deux forces a tenté de perquisitionner des maisons à Kherbet Selem en juillet 2009, sans autorisation juridique, et en l’absence de représentants de l’armée libanaise.

      A Deir Kanoune, un notable signale : « Les gens du sud ne sont pas en tain de fabriquer de faux prétextes pour se retrouver face à face avec la Finul », rappelant l’incident perpétré il y a quelques mois, et au cours duquel un Libanais a péri lorsqu’une batterie de la Finul mal attachée s’est abattue sur sa voiture le tuant sur le champ.

      Autre signe de cette crispation est la mise en garde du Hezbollah, dont le numéro deux a sommé « la Finul de s’acquitter de son rôle (…) de façon à ce qu’elle ne suscite pas la méfiance des citoyens ».

      "La Finul doit désormais faire attention à ce qu’elle fait et se rendre compte que les excès provoquent davantage d’inquiétude (...) et ne favorisent la confiance entre ces forces et les habitants", a souligné cheikh Naïm Kassem. Rappelant que "ces forces doivent (...) s’en tenir à leur mission tel qu’elle est précisée dans la résolution 1701 (du Conseil de sécurité de l’ONU). A ce moment-là, il y aura un retour à la normale".

      Côté européen, loin des réactions officielles publiques, des sources diplomatiques européennes liés aux pays de la Finul ont rejeté les accusations de vouloir « espionner qui que ce soit » et ont décidé d’imputer la responsabilité de ce qui s’est passé au Sud aux habitants.

      « Les pays de la Finul ont commencé à réviser l’efficacité de leur rôle dans cette région dont les habitants ne sont pas conscients que leur présence empêche l’éclatement d’une nouvelle guerre destructrice comme en 2006 » a dit l’une de ces sources au quotidien libanais AsSafir.
      Dénombrant 25 incidents de jets de pierres perpétrés ces derniers jours contre des soldats de la Finul, la source s’offusque : « qu’a fait de mal la Finul depuis qu’elle se trouve au sud ? Si les gens du sud ne veulent pas de notre présence, qu’ils nous le disent franchement ».
      Même l’armée libanaise a eu son compte des plaintes européennes. Elle est accusée de ne pas suffisamment collaborer avec la Finul, et de retarder l’arrivée de ses soldats pour la perquisition d’un endroit soupçonné d’être un dépôt d’armements. Il lui est aussi reproché de ne pas avoir déployé les 15 mille soldats libanais prévus et de ne s’en tenir qu’aux 3500 présents sur place.
      La question aurait été soulevée par le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner et le ministre de la défense Hervé Morin.

      Justement et concernant la position française , elle s’est spécifiquement marquée par une réaction offensive.
      S’exprimant pour le journal libanais Ad-Diyar, des sources de son ambassade à Beyrouth ont interprété le fait que leurs forces aient fait l’objet de 24 jets de pierres sur les 25 recensés ces trois dernier jours comme étant des lettres politiques dans différents sens : la première serait iranienne sur fond de sa position sur le dossier nucléaire iranien ; la seconde serait syrienne, vu que Paris a décidé de freiner son ouverture sur Damas ; et la troisième serait irano-syrienne, en réponse aux deux visites du patriarche Sfeir et du chef des Forces libanaises Samir Geagea en France. Toujours selon Ad-Diyar, l’ambassade a exprimé sa gêne quant à la position officielle libanaise.

      A cet égard, force est de constater que les Français ont rechigné de répondre aux reproches du président libanais, comme si les agissements de la Finul n’avaient rien de suspect.
      Pire encore, ils ont dénigré les inquiétudes des habitants libanais du sud Liban, les présentant comme de faux prétextes pour camoufler des jeux d’intérêts iraniens et syriens, et insinuant qu’ils ne sont pas dictés par des considérations libanaises.

      Cette rhétorique, certes insolente est très courante ces dernières années. Elle constitue un thème commun récurent que l’on retrouve dans le discours de ceux qui œuvrent sournoisement pour priver le Liban ( voire tous les pays de la région) de ses atouts de force.
      Question de préserver inconditionnellement la sacro-sainte supériorité militaire de l’entité sioniste.
      al manar
      alors comme d’hab les colons chez les colonisés les fusils à bouchon pour les iraniens , libanais ,syriens et autre irakiens et les armes les plus sophistiquées pour israel pour dire après que les arabes sont des incapables sauf que malgré cela en 2006.....

      pour le reste la force israélienne des nations unies au liban commence à être fatigante

      franchement sur place on veut vivre tranquille sans israéliens , français et autres

      profiter de sa mAison et de son jardin c’est Trop demander ????

      ALORS