Accueil > EDF : Il faut sauver le parrain Henri

EDF : Il faut sauver le parrain Henri

Publie le jeudi 21 avril 2011 par Open-Publishing
1 commentaire

« Je n’allume jamais de lampe en journée. Mon habitat est assez bien exposé, autant profiter de la lumière naturelle. » Danielle M., Auxerre (89). Proverbe pubesque et Proglionesques qui peut se traduire utilement en : « J’éteins pas quand il fait nuit. Mon habitat est
mal foutu et la chute est naturelle »


Mon très très cher Riton, Cher parrain,

Pourquoi cette humiliation ?

Nous savons tous que tu (je te dis tu hein !) pratique l’extorsion de fonds...

Un minimum de pudeur était aux plus belles heures de la prohibition la règle d’or de tes glorieux anciens du nouveau monde qui pratiquaient avec un art raffiné le plus élémentaire savoir vivre et qui au pire, résolvait par une fin de vie sans préavis, tous les problèmes afférents de près ou de loin à une dette.

Le sens de l’honneur était pour tes maîtres d’une cruelle mortiditude !

Comment en êtes vous arrivez à renier vos glorieux ancêtres qui ont fait de ce pays de sauvages quasi Indien un pays civilisé ?

Quelle terrible régression. Pour un peu et même beaucoup je te traiterais de gougeât (mot ancien et bourgeois très peu usité, il est vrai)...

Imagine ma détresse et ma désolation que de voir nos pillards et maîtres aussi mal instruits. Imagine ma détresse de me voir aussi démunis face à un total manque de respect quant aux règles élémentaires du racket organisé.

Tu me trouve là, tout remué par des méthodes qui par chez nous n’ont pas cours. En effet, duchesse t’emmerder, il est de tradition de nettoyer ses bottes sales avant de rentrer dans la maison. Par chez nous en tous cas. C’est vrai aussi que Neuilly sous le niveau de décence, je connais pas.

Ce n’est donc pas tant le racket que tu nous applique qui me chagrine vu que déja avec ton jouet Véolia tu nous faisais payer l’eau qui est à nous !

C’est bien la méthode qui de cartes biseautées en cartes biseautées tend à nous faire croire que nous sommes incultes idiots et réceptifs au matraquage publicitaire télévisuel (calvinesque avoue ? parce que c’est dans l’air qu’un jour tu nous feras payer !).

En un mot comme en cent Riton : Trop c’est trop ! Mieux vaut mourir en mettant les doigts dans la prise plutôt que de continuer à te payer. Tu as été, tu es trop gourmand. Fini les conneries mon cher très cher parrain. Je déserte le PSO (Paiement Sous Obligation).

Au fait parrain. Pas la peine de m’envoyer les FN pour m’expliquer à coup de trique que je dois payer : ça marchera pas, j’aimes pas les lèches culs qui pensent avec leur langue à défaut d’avoir des neurones !

On se comprend mon cher, très cher Henri et Parrain abhorré !

PZ : Un jour, con comme on est on viendra récupérer ce que tu nous a volé. PROMIS !

Carland

Messages