Drames de la Vie privée en milieu socio caritatif

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Fred est sdf quand il arrive en 2003 à fréjus de la banlieue de reims. Il dort dans sa voiture et son copain d’infortune dort sous une petite tente à proximité de la voiture stationnée sous le pont de l’argens. Fred adopte un chiot de petite race (taille d’un chat à l’âge adulte) trop petit d’ailleurs car un matin, au réveil, le chiot à une patte brisée. Il conduit le chiot dans une association qui le conduit auprès d’un service vétérinaires pour tous. Le chiot revient à Fréjus. Fred vient pour le récupérer. La directrice de l’association lui dit : « vétérinaires pour tous a conclu que ce chiot a été maltraité et m’a demandé de ne pas te le rendre ». Fred se rebelle, nie. La patte brisée du chiot (de la taille d’un rat alors) ce n’est pas de sa faute, ou plutôt si, quand il dormait, le chiot a du se trouvait coincé entre le siège de l’auto et Fred.
Fred à un casier judiciaire. Il est menacé de prison. Il abandonne la lutte. Deux après, la directrice est toujours propriétaire du chiot.

Pauline est sdf depuis 5 ans à fréjus ou elle est domiciliée dans une association. Son fils de 20 ans habite la région de nantes. Il commet quelques bêtises et obtient le sursis. Re bêtises et le tribunal décide de statuer sur la révocation du sursis. Pourtant majeure, c’est pauline sa mère, à qui est adressée la convocation en justice. L’huissier se rend auprès de l’association qui domicilie pauline et remet la convocation à la directrice qui signe pour pauline. Le copain de pauline à son attention attirée. Il dit à pauline : « une convocation en justice est normalement remise en main propre à l’intéressé. Quand l’intéressé est absent, l’huissier dépose la convocation à la mairie et avise l’intéressé par pli séparé qu’il a la possibilité de retirer cet acte à la mairie ».

Normalement oui !!!

Etc, etc...

Défendre notre liberté est devenu un parcours du combattant. Il faut encore en avoir les moyens, être solides, informés... Est-ce qu’un SDF a encore ces atouts. ?