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De la pompe junker à la centrale à gaz ( CCCG Landi 29)

par Patrig k

Publie le lundi 13 août 2012 par Patrig k - Open-Publishing
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Retour future du passé rentable.L’eau, le vecteur en réserve énergie & Le Rendement de la correction à l’interro de Madame Le Ministre Le Branchu

& Notion de rendement simplifié et technique du passé

La pompe à colonne d’eau, installée par l’ingénieur Junker, à l’ère de transition eau/ cheveaux vapeur (cv) au XIXéme siècle

 Le contexte et état des lieux à Landivisiau

Le collectif GASPARE qui depuis l’automne 2010, informe et organise des réunions à la destination des habitants des communes du département du Finistère, dans le but annoncé et argumenté, de faire opposition au projet d’une CCCG de 450 MW, polluant, qui est à contre sens des objectifs de diminution de rejets de gaz à effet serre (GES CO2), et de plus couteux pour les citoyens consommateurs et contribuables. http://www.nonalacentrale.fr/?p=446


Non à la Centrale gaz à Guipavas 1/3 par Squapad

Le première réunion à Guipavas ...

Profitant de cette période préparant les élections en débats, dont nous pouvions en attendre autre chose de ce qui a été répété, du mot insignifiant encombrant toutes les radios et les écrans, au retour d’idiomes reliant nauséabond et maurassien, le collectif GASPARE a fait parvenir courrier et document, pour questionner les élus durant ces campagnes pour les présidentielles et législatives.

Le collège qui procède à la synthèse des travaux de tous les membres associés à ce collectif GASPARE, à de sorte consulter les politiques locaux. Afin qu’ils se prononcent sur ce projet. Un questionnaire élaboré, précis et comprenant plusieurs rubriques, et qui sont sommairement : écologie, santé, social et emplois, économique et finance, technique, et de la dépendance à 97%

Question/Réponse : http://www.nonalacentrale.fr/?p=4506 & http://www.nonalacentrale.fr/?p=4460

L’essentiel pour ce que j’en pense. L’indépendance énergétique, ce que les promoteurs ont délibérément nommés, la sécurisation de l’approvisionnement ! Sécurisation, alors que la réalité est la dépendance et de son lot de revers à risques. Cette CCCG qui nous est imposée, et d’attendre de la poursuite dans cette voie, la seule promo au travers de la publicité. Du power point, en ressource pour l’anticipation politique à la géopolitique sous tension, de la rareté et du cout des énergies qui y sont strictement liés.


CCCG450MW29 Une Video CLAc Brennilis en lice ! par Squapad

Légende Bretonne ...La pompe Junker à disparue du Web net ? Un coup des GiBis ?

Le projet étant désormais à l’étude : impact, tracé des réseaux, et les inévitables dépliants publicitaires Direct Énergie, tous à ses intérêts pour la phase de préparation des travaux, et des enquêtes d’utilités publiques légales. Un découpage de procédures administratives, qui avait même surpris le président de la CNDP Cf. saisine de la CNDP ! C’est dire, le mille feuilles, les enquêtes utiles qui seront au nombre de trois ! Le dossier de saisine est téléchargeable ici . Le fichier de 232 pages et de plus de 30 Mo

Une CCCG et trois enquêtes, il est vrai, ce n’est pas tout à fait mille ! Trois procédures de consultation du publique, dont les conclusions seront rédigées, rendues aux autorités par les fonctionnaires issus ou proches des Tribunaux Administratifs. Des avis qui sont légalement consultatifs, c’est comme ça. En d’autres termes, le donneur d’ordre, qui est l’État, n’a aucune obligation légale de suivre, les amendements ou autres recommandations, qui seront rédigés par ces commissions. Du lourd, pour la mise en chantier de cette CCCG de 450 MW, et des travaux de raccordements gaz et électricité. Pour la CCCG d’une, pour le raccordement Électrique, et de deux, pour le raccordement Gaz, et de trois. Un brin étonnant, ce triskel administratif, troublant !

Le site qui a été choisi, serait entériné L’arrivée de la CCCG au bout du circuit et pendant toute l’année, à force de tourner manège à fatiguer les « gaspares ». Le transfuge Besson, a finit par signer. L’ex fouine devenue depuis invisible, a en effet, attribué ce chantier de 400 millions d’euros, un investissement privé, mais qui est couvert par une « prime » de 40 millions d’euros/an (Cf réf) , en échange d’un service à produire le plus de jus, bingo pour le Groupe SIEMENS associé au porte feuille d’entreprise Direct Énergie, la page à la nationale. Ceux-ci ont depuis investit un petit coin de prairie, livrée par la Mairie de Landi.

Sécuriser l’approvisionnement, à l’aide d’une CCCG de 450 MW à tout juste de 1 km à 1.5 km du clocher de l’église de cette commune de Landivisiau, chapeau bas. Monsieur Le Maire est heureux et content, il se dit aussi que les comptes courants de sa commune, seront ainsi soulagés à réduire des résultats aux rendements, qui pour le coup de chapeau, sont plutôt exorbitant. A votre bon cœur, très chers payants ! Ce qui aide Monsieur le Magistrat Communal, d’accepter la construction de cet engin, pas loin de la maison. Réduction de facture locale de proximité, ça gaze à Landi. A mon avis, il n’a jamais du y mettre les pieds à Montoir de Bretagne, à prendre notion de l’option explosion, du dimensionnement d’une telle usine. (Une CCCG toute neuve mise en service en 2010, dans cette centrale thermique – Loire Atlantique)

Imaginez-vous, toute comparaison et proportion géométrique étant relatives, c’est un peu comme si la Ville et environ de Nogent sur Marne, serait délocalisée avec sa centrale nucléaire, en lieu et place du bois de Vincennes. De la Nation à République, ce n’est pas sur, que même les dandys de Neuilly y seraient favorables et satisfaits !

 La correction de l’interro de Madame Le Branchu

A ce questionnaire élaboré, Madame Le Branchu, très proche de Martine Aubry, Ministre de la justice sous Jospin, et néanmoins ancienne mairesse de Morlaix, Ministre et Député du changement qu’on attend ; c’était courtoisement prêtée à l’exercice. Tout au moins, le service de ses conseillers spécialisés dans ce domaine. Rien de plus courant...

Extrait concernant le rendement des CCCG :

...//...

Par conséquent, le choix de l’État de construire une CCCG en Bretagne dans le but de sécuriser l’approvisionnement, choix validé par la Conférence Bretonne de l’Énergie (qui regroupe 150 acteurs du territoire*) dans le cadre du Pacte Électrique Breton et par la commune d’accueil de Landivisiau, n’est pas à prendre sous le seul angle de la réduction des GES. Bien entendu, une CCCG émettra des GES supplémentaires mais je me permets tout de même de vous rappeler qu’il s’agit d’une technologie éprouvée, avec d’excellents rendements et somme toute des rejets limités comparés aux autres modes de production thermique d’électricité. La technologie CCCG est mise en avant par la même Union européenne qui fait du climat l’une de ses priorités. Sur ce seul point, d’autres décisions à l’échelle de notre région (ne serait-ce que les objectifs de développement des énergies renouvelables dans le cadre du Pacte Électrique) et du territoire national devraient permettre de réduire globalement les émissions pour être dans les clous de l’objectif européen sur ce paramètre.

...//...

Nous nous limiterons à l’analyse de cette notion de technologie éprouvée, qui est ici affirmée, ainsi que des taux de rendement annoncés, quant à la conclusion au sujet de rejets GES, coulera de source, si j’ose le dire et l’écrire, avant que ça coule !

Madame La Ministre [...//... je me permets tout de même de vous rappeler qu’il s’agit d’une technologie éprouvée, avec d’excellents rendements et somme toute des rejets limités comparés aux autres modes de production thermique d’électricité, ...//...]

Voyons cela. Ces nouveaux procédés CCCG (central à cycles combinés à gaz), et selon les lieux d’implantation, produisent de l’électricité dans des plages de rendement de 50% à 55%, annoncées, rarement mesuré in-situ à 60%. (Cf : fluide rafraichissant et en quantité à proximité = rendement « bon »). Ces outils sont pour l’heure de fabrication assez récente, avec peu de retour d’expérience, ce qui est le contraire d’être éprouvé. Dans un document étayé sous autorité de responsable politique en fonction, cet aspect n’est pas recevable, pour un argument technique prépondérant de rentabilité.

Les taux R% annoncés, par les fabricants étant, par nature, favorables à leur seul intérêt, même si les taux se vérifieraient à posteriori. (Garantie décennale, ou plus ?). Sachant de plus, que les progrès en % de rendement, ou l’inverse, la moindre de la plus petite marge engendre pour de telles puissances, des conséquences en couts assez considérables, dont on ne peut se convenir d’approximation publicitaire.

Toute comparaison étant relative, une fois de plus, néanmoins les machines dites conventionnelles, obtiennent-elles des rendements de 45%. Mesuré ! Si ces résultats sont bien au-deçà, des publicités de rentabilités de ces CCCG, vous en conviendrez, qu’il n’y a rien d’autre que de plus naturel. Gardons raison avec sourires : De la deux deuche à la XSARA, le saut technique extra ! Quoique ... Junker faisait mieux déjà. Dernier paragraphe

Nota : (le R% financier pose problème et également pour les constructeurs : Cf Le Echos)

Retenons tout de même ce taux de 55%., afin de poursuivre la démonstration, et en rappel sommaire. Ce dont ce que plusieurs sources ont déjà démontré, que de produire de l’électricité de cette façon, ce pour alimenter par la suite un parc de logements bretons équipés de convecteurs électriques est une aberration, une hérésie ! En connaissances éprouvées celles là depuis plus de 25 ans pour les premières installations en nombre suffisant à valider des choix intelligents ce pour cette application thermique directe. A savoir que les résultats reconnus dans les relevés et mis à jour en documentation ; que ces chaudières à gaz, dites à condensation, obtiennent elle un R%= 95%. Soit un gaspillage de 40 %, de la fuite de gaz !

Considérant, que la dépense énergétique, qui engendre un déficit sur la balance commerciale d’environ 60 milliards d’euros, dont 40 % environ sont affectés d’une façon ou d’une autre, pour des applications directes et thermiques, le chauffage des bâtiments. Ces équipements ci-dessus, qui réduiraient considérablement les pertes. Sans analyse plus détaillée et argumentée, pour cet aspect développé dans un document étayé sous autorité de responsable politique en fonction, ce qui n’est pas plus recevable, pour un argument technique prépondérant de rentabilité. Les taux annoncés, par les fabricants étant, par nature, favorables à leur seul intérêt, même si les taux se vérifieraient à posteriori pour la CCCG. Ce qui est le cas, pour ces chaudières dites à condensation qui l’ont démontré. (Sous réserves de mises œuvre adéquates et vérifiées)


Scoop à Landi ! Un dissident notable par Squapad

La CCCG 40 millions d’euros par an, en 10 ans la CCCG payé avec l’argent qu’on aurait pas, sous formes de subventions versés pour Direct Energie ! Efforts dites vous ?

Ce qui est inacceptable, de se priver de pas moins de 40% de la capacité de rendement, pour une matière première en constante inflation, du gaz importé à 97%, soit de Russie, ou d’Algérie., Nigéria ou d’ailleurs. Le Qatar  ! À l’heure ou l’Europe libérale est arque boutée du dogme de la rentabilité et des souffrances qui y sont liées, une politique énergétique basée sur une doctrine datant des années 1990 à 2000, dont un haut et ancien responsable du SPD qui fut un temps Chancelier en Allemagne, celui qui avait largement œuvré pour des négociations d’importation de gaz de Russie, vers l’Europe occidentale. Ukraine et tubes à vannes.

Du SPD allemand, qui est en poste cadre dirigeant, chez le producteur russe, GAZPROM. De plus l’inflation constatée et à payer à comptes et rebours, suite à la décision du Conseil d’État. La charge des consommateurs de gaz qui ne fait que débuté, l’intérêt pour le groupe dirigé par le Pdg Mestrallet de GDF Suez, dont il est connu qu’il possède lui aussi, des parts en actions, dans le Holding en joint venture, sur le gazoduc NorthStream. GDF Suez coactionnaire avec GAZPROM !

Tout ce qui ressemble en rien, même si cela est nouveau, du devoir à une politique de changement, cohérente qui repose sur la réalité, que se charge de vous rappeler l’un des membres de ce collectif, et non sur la base erronée, ou d’analyse superficielle ! Approuvant et recopiant la publicité de rendement annoncé de ses machines. Un rendement qui l’est surtout pour les industriels énergéticiens et autres vendeurs ou/et de producteurs d’énergies fossiles et procédés, de matériaux gaz ou liquide, l’uranium c’est pareil, tous importés. En retour de quoi, perte sèche, pour des consommateurs citoyens contribuables, déjà à sec ! Ces aspects développés dans ce document et qui est étayé sous ma seule responsabilité est recevable , d’être un ensemble à faire l’argument, à stopper net cette opération, et pour une autre politique raisonnée, dé fossilisée, et non celle de la publicité.

Si, il est sur que nous ne sortirons pas de ces schémas, aussi vite à nous séparer de ces procédés fossilisés d’ici demain ! Ce n’est pas une raison de mettre tant de taux d’énergie à la poubelle. Juste pour quelques représentants, et nous autres à attendre encore ce changement !

 Retour vers le future rentable et durable, garantie 0 % GES.

Source & tourisme à Locmaria Berrien :

Si vous souhaitez de plus amples renseignements sur l’ancienne mine de plomb et d’argent de Locmaria-Berrien, vous pouvez contacter l’ASAM (Association de Sauvegarde de l’Ancienne Mine) : Mairie 29690 Locmaria-Berrien mèl :

asalb 4E5 hotmail.fr

Près de 20 puits, dont certains profonds de 200 à 300 mètres et des kilomètres de galerie furent creusés. Des machines hydrauliques, dont les roues avaient 12 mètres de diamètre, servaient à actionner les pompes assurant l’exhaure (évacuation) des eaux d’infiltration souterraines de ces puits. La remontée du minerai en surface se faisait à flanc de coteau ou à l’aide d’une machine à molette actionnée par des chevaux.

En 1832* pour remplacer les roues hydrauliques, la mine se dota de 2 machines à colonne d’eau accouplées, dont les pompes élévatrices, en bronze, pesait 16 tonnes. Mises au point par l’ingénieur alsacien Junker, Directeur elles assurèrent l’avenir de la mine de 1832 à 1866, permettant l’exhaure de plus de 5000 m3 d’eau par jour de 200 mètres de profondeur.

http://www.minelocmariaberrien.com/...

* ci après 1825 ! Attention aux sources ...

Source et la Source

Publié dans le LIVRE DU CENTENAIRE (École Polytechnique), 1897, Gauthier-Villars et fils, TOME III, page 184

[...//...Il fut par là conduit à établir côte à côte deux machines identiques de 1 m de diamètre et 2,30 m de course, actionnées par une force motrice de 21 mc(3) par minute, avec hauteur de chute de 61 m. Elles devaient élever 3,58 mc(3) par minute de 230 m de profondeur, en donnant un rendement de 65 pour 100. Ce n’était pas seulement le mécanisme qui était remarquable, au point d’avoir passé dans l’enseignement ; c’étaient, pour l’époque, - la mise en marche eut lieu le 17 juillet 1825 - la puissance de la machine et l’importance des pièces comme celle constituée par le piston. A cette date, il y a soixante-cinq ans, la plus forte machine à vapeur fonctionnant en France était une machine de 100 chevaux...//...]

100 chevaux. 1 ch = 736 W , soit environ : 73 600 W soit 73.6 KW

Rajout Pk (3) : mc= mètre cube

Source et ressource

Voyage dans le Finistère. Par Cambry
A la Librairie de Come, Fils Ainé édition : 1833

Deuxième section : INDUSTRIE MANUFACTURIERE-COMMERCE

Ou il est écrit dans ce document encyclopédique, de près de 700 pages ( en PJ une section extraite, Mine huelgoat- Locmaria-Poullaouen. Cette machinerie en colonne d’eau développait une puissance de 337 cv. Soit l’équivalent en watt actuel, 248 032 w ; 248 Kw à 60-65 % de rendement. (Chauffage pour 120 logements / RT 2012)

Une précision qui manque sur les précédentes sources, ça coule de source

En PJ : Extrait et en référence à la mine de plomb Argentifère de Huelgoat et Poullaouen

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Notion de rendement simplifié : EP/EU

EP : énergie primaire, le gaz, pétrole, c’est à dire du solaire fossilisé ; mais aussi du vent ou autres, le solaire instantané.

EU : énergie utile ; utilisée au point livré du gaz , qui fait parfois 10 000 km avant d’arriver à destination au point d’utilisation, ...

ET : énergie utile ; utilisée au point de prise géothermique

*1 MW ( Mégawatt W) =. 1000 KW = 1 000 000 W = 1358.69 ch.

Le cheval-vapeur électrique européen est défini comme valant 1 ch = 736 W.

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