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Caroline Fourest empêchée de parler à la Fête de L’Humanité

Publie le lundi 17 septembre 2012 par Open-Publishing
11 commentaires

Quelques dizaines de militants l’ont contrainte à annuler son intervention en l’accueillant avec des « Fourest, dégage » et, selon ses déclarations, des attitudes menaçantes.

<Sur>

« Des gens ont essayé de venir sur scène me lancer divers objets à la figure. Il a fallu évacuer. J’ai insisté auprès des organisateurs pour pouvoir dire au moins un mot et répondre aux propos délirants qui étaient tenus dans la salle par ses agresseurs... La sécurité estimait que c’était très, très violent. [...] Des coups commençaient à s’échanger dans la salle. J’ai quelques personnes qui disent avoir reçu des coups et ont des bleus. La sécurité ne souhaitait pas du tout que je puisse reprendre pour ne pas mettre des gens en danger. »"

<http://www.rue89.com/rue89-politiqu...>

<http://www.dailymotion.com/video/xg...>

Messages

  • PFFFFFFFFFFFFFFFFFF !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! , les hôpitaux de Paris manquent de matériels et nous on s’intéressent à de pseudo guerre de religion ? Il me semblait que la parole était libre et que l’on ne peut taxer cette dame de "marinisme". La St Barthélémie nous à guérit de tout cela ,il me semble. Alors on se recentre ; le retour de tous nos droit et A BAS LA CALOTTE ET VIVE LA SOCIALE marie.lina

  • Réaction de Patrick Apel-Muller, directeur de l’Humanité, à l’incident lors du débat sur le Front national avec Caroline Fourest
    l’Humanité,

    Lors d’un débat consacré au pluralisme, ce dimanche à l’Agora de l’Humanité, Patrick Apel-Muller, directeur de la rédaction de l’Humanité, a déclaré :
    "Un petit groupe de fanatiques religieux ou politiques, dont aucun ne peut se réclamer de la gauche, a empêché Caroline Fourest de s’exprimer samedi lors. C’est insupportable ! Ils ont ainsi obtenu qu’un des débats de la fête contre le Front national ne puisse pas se dérouler. CQFD. Nous ne laisserons pas ces intégristes empêcher les débats pluralistes qui sont la marque de la fête de l’Humanité."

  • Bellaciao a malheureusement été un site de propagande pour la poignée de militants qui a sévi sur le site de l’Humanité :

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?ar...

    • Tss Tss Tss.

      Il faut être raisonnable et que votre haine pour notre Collectif ne vous étouffe pas !

      Bellaciao n’a JAMAIS demandé à quiconque d’aller molester un intervenant à une fête à laquelle d’ailleurs nous ne participons plus depuis 3 ans ! Ce début de procès d’intention est absurde et ridicule et nous ne laisserons pas faire les amalgames foireux.

      Ce texte d’appel, publié (par qui nous l’ignorons), n’a rien non plus d’un appel à la violence c’est une interpellation démocratique publique et pacifique ("Nous demandons aux organisateurs de la fête de l’Humanité de se ressaisir en revenant sur leur décision d’inviter C. Fourest qui n’a pas sa place dans une manifestation se voulant antiraciste".) qui s’adressait à la direction POLITIQUE De la fête de l’Humanité, appel signé par des personnes que nous ne connaissons pas (et avec lesquelles nous n’avons aucun lien) mais qui se contentait nous semble t il, de rappeler le rôle que Caroline Fourest joue AUSSI comme "idiote utile" d’une mouvance xénophobe, preuves (sourcées !) à l’appui.

      Caroline Fourest a bien évidemment le droit de s’exprimer tout à fait librement, et sans craindre pour sa sécurité physique, comme nous TOUS.

      D’un point de vue strictement politique, sans faire de lien de causalité, le GROS problème avec CF semble t il, c’est qu’elle profite d’un discours policé et admissible pour passer des choses injustes, et pire qu’injustes, des propos inacceptables, qui ont comme vertu première non pas d’enrichir le débat ou la réflexion, mais qui excitent la haine des uns contre les autres.

      Mais nous sommes bien d’accord qu’à ceci il faut répondre avec des mots, non avec des coups. Ce n’est pas acceptable. Mais cet appel n’appelait pas à la violence physique. C’était une adresse publique à la direction de la Fête lui demandant une prise de position politique (ceci ne doit pas être éludé).

      C’est une évidence et cet "appel" (auquel aucun d’entre nous n’a d’ailleurs accordé une importance démesurée) se contentait de rappeler de façon documentée ce que disait Mme Fourest.

      Bref.

      Nous n’allons quand même pas être tenus pour responsables de ce qui se passe à la fête de l ’Humanité, faut pas charrier, c’est à la direction de cette fête de répondre de ce qui s’est passé et pas à nous, qui n’étions ni présents ni signataires ni promoteurs de cet appel signé par des inconnus. Trouvez vous un autre bouc émissaire !

      Sur ce, nous sommes évidemment navrés et choqués qu’il y ait eu des violences physiques à l’encontre des personnes, si besoin était de le préciser !!

  • Ah !Ah !Ah !

    Mais bon sang, pourquoi avoir invité Caro plutôt que Botul à la fête de l’Huma’ ???

    Et où était Le Gloupier ce jour-là ?

    Empêcher ces braves gens de causer, c’est leur faire de la pub’ et ils adorent tandis que la chantilly, ils ne s’en vantent pas après.

    Bon, pour l’année prochaine, quelle affiche ?

    Ayraut va à l’université du Medef, non ?
    Alors faut surtout pas se laisser distancer par les soc’dems les gars, hein ?

    Pourquoi pas la causette avec un patron, par exemple ?
    Attention ! Un patron au moins aussi à gauche que Caro, bien sûr !!!

    Quelle pitié ! Mais quelle pitié !

  • Soyons d’emblée le plus clair possible : nous ne sommes liés ni au groupuscule "Égalité & Réconciliation", ni à aucune organisation d’extrême droite quelle qu’elle soit. Nous sommes de simples militants antiracistes comme il y en a (heureusement) un certain nombre en France et nous ne pensions pas devoir sortir de l’anonymat avant de lire les mensonges déversés sur nous depuis les réseaux sociaux et dans les médias. Maintenant, venons-en aux faits.

    Caroline Fourest et "Les Indivisibles", une longue histoire

    Samedi 15 septembre 2012 à 17h, Caroline Fourest était invitée au débat "Comment faire face au FN ?" au chapiteau "Les Amis de l’Humanité" lors de la Fête de l’Huma. Une semaine plus tôt, une trentaine de militants antiracistes avait rédigé une lettre ouverte aux organisateurs de la Fête de l’Humanité contre cette invitation et l’Union Juive Française pour la Paix avait également produit un communiqué de presse allant dans le même sens.

    N’y a-t-il pas autrement plus compétent que Caroline Fourest pour établir une stratégie de lutte contre le Front national ? Le sociologue Saïd Bouamama par exemple, auteur de multiples ouvrages sur l’identité nationale et les discriminations, le militant antiraciste et antisexiste Pierre Tevanian, auteur du "Dictionnaire de la lepénisation des esprits", ou la journaliste Rokhaya Diallo, militante féministe et antiraciste, auteure de "Racisme mode d’emploi" ? Pour ne rien gâcher, leur appartenance à la gauche de la gauche, autrement dit aux gens-qui-vont-à-la-fête-de-l’Huma-pour-autre-chose-que-les-concerts n’est plus à prouver : ils sont de vrais Amis de l’Humanité.

    En revanche, le CV de Caroline Fourest en matière d’antiracisme contient une certification bien plus surprenante : le Y’a Bon Awards “Les Experts Chronikers” consacrant le ou la chroniqueuse ayant diffusé le plus de préjugés racistes au cours de l’année [1]. Non, le racisme n’est pas seulement l’œuvre de gros vilains méchants tels que les Le Pen père et fille mais aussi et surtout un système, alimenté par la diffusion massive de préjugés racistes par l’intermédiaire de personnes disposant d’une forte audience médiatique assortie d’une légitimité publique. Tel est le cas de Caroline Fourest qui, dans la citation primée, refuse la non-mixité pour les "associations [qui] demandent des gymnases pour organiser des tournois de basket réservés aux femmes, voilées, pour en plus lever des fonds pour le Hamas". Pourtant, jusqu’à preuve du contraire, les équipes de basket sont rarement mixtes. Et, plus aberrant encore, si les femmes portent le voile c’est bien qu’il y a des hommes dans la salle... Passons sur l’amalgame facile entre soutien humanitaire à la Palestine et cette organisation politique islamique, tout cela avait déjà fait l’objet d’une analyse de Noria, membre des "Indivisibles", en décembre 2010.

    Suite à la cérémonie, Caroline Fourest avait déjà calomnié Rokhaya Diallo, l’accusant de vouloir attenter à sa vie, et l’avait menacée de porter plainte contre "Les Indivisibles", son président et le jury des Y’a Bon Awards. Drôle de réaction pour une si grande défenseuse de la liberté d’expression ! Une pétition de soutien contre les calomnies de Caroline Fourest avait été lancée par la féministe Christine Delphy.

    Fourest n’étant pas venue chercher son trophée, nous avons voulu profiter de sa présence à la Fête de l’Humanité pour lui remettre. Nous savions que nous serions attendus par le service d’ordre mais nous comptions également sur le soutien et la complicité d’une partie de la salle car, que le Parti de Gauche le veuille ou non, la Fête de l’Humanité est aussi notre fête. Nous n’avions simplement pas imaginé à quel point les rôles de victimes et de bourreaux pouvaient être inversés.

    Les accusations qui pèsent sur nous

    Nous nous sommes vu accusés d’avoir agressé physiquement la blanche colombe Caroline Fourest, notamment en lui jetant des projectiles, d’être en connivence avec l’extrême droite, de faire le jeu du FN, d’être contre la liberté d’expression, contre le débat démocratique et pour l’instauration d’un “délit de blasphème” et, cerise sur le gâteau, on nous a informés que nous n’étions “pas chez nous”.

    Bref, nous avons vérifié à nos dépens la théorie des "Indivisibles" sur le racisme médiatique : les personnalités publiques ont un pouvoir bien supérieur à celui de l’extrême droite pour diffuser des préjugés racistes. C’est pourquoi nous donnons ici notre version des faits.

    Notre version des faits

    Nous avions rassemblé une vingtaine de militants autour de cette action [2] et convenu que notre but était de tenter de remettre son Y’a Bon Award à Caroline Fourest. L’"opération Banane" devait se terminer dès que la tentative aurait eu lieu, réussie ou non. Action non-violente, nous ne devions pas répondre à celles, prévisibles, du service d’ordre de la Fête.

    Nous disposions d’un tract expliquant notre action au cas où nous ne puissions pas prendre la parole. Les militants devaient se positionner dans le public, féliciter et applaudir Caroline Fourest sur le mode de la remise de prix, si possible avant que d’autres adversaires politiques de Fourest, très certainement présents sous le chapiteau, ne la chahutent. [3]

    L’un de nous deux, Bader, devait donner le signal de l’opération en annonçant au mégaphone la remise du Y’a Bon Award, tandis que la seconde, Myrto, profitant de cette diversion, devait remettre le prix à la lauréate. Dans la pratique, la diversion de Bader a bien fonctionné puisque le service d’ordre l’a mis au sol à deux reprises et étranglé. Mais pas assez bien pour Myrto, elle aussi violemment plaquée au sol alors qu’elle tentait simplement de déposer une banane dorée sur la tribune.

    La violence du plaquage a tellement surpris les militants qu’ils ont abandonné toute la mise en scène prévue initialement pour lui venir en aide. Ce faisant, ils se sont retrouvés une petite vingtaine regroupés devant la tribune. C’est ainsi qu’a commencé notre “micro-manif”. Nous ont rapidement rejoint une autre dizaine de membres du public, protestant contre la venue de Caroline Fourest, d’autres militants nous soutenaient depuis les gradins scandant des slogans contre le racisme.

    Rapidement la salle s’est clivée et les invectives ont fusées, principalement à notre encontre. "Vous n’avez rien à faire ici, vous n’êtes pas chez vous !", "Rentrez chez-vous !", "Ce n’est pas notre culture !", "Islamofascistes !", "Allez toutes vous faire exciser !", nous a-t-on même fort sympathiquement proposé. Nous avons entendu certains hurler en cœur "liberté d’expression" pour nous faire taire.

    Certains de nos militants arabes ou noirs ont été personnellement pris à parti et se sont vus qualifier de "communautaristes" et d’"immigrés". Le journaliste Nadir Dendoune qui couvrait le débat a été sommé de quitter les lieux car "ça se voyait [à sa tête d’arabe ?] qu’il était avec ’eux’".

    Démocratie et liberté d’expression

    Les organisateurs ont eu de multiples occasions de rendre ce débat démocratique : en invitant un militant antiraciste conséquent à la place de Caroline Fourest, en invitant une parole contradictoire à la tribune ou en entamant un dialogue avec nous. Nous avons tenté de dialoguer, proposant Saïd Bouamama dans le rôle du contradicteur. En vain.

    L’organisateur a finalement annoncé l’annulation du débat, nous en imputant la faute. Seul discours, vite relayé. La réalité c’est que Caroline Fourest, comme à son habitude, était déjà partie plutôt que d’affronter la contradiction. En effet, c’est loin d’être la première fois qu’elle quitte le débat avant les prises de paroles de la salle, se gardant ainsi de toute question critique.

    Alors inutile de vous dire que nous restons sans voix quand le porte-parole du Parti de Gauche prétend que nous sommes membres de "groupuscules violents [voulant] salir la Fête de l’Humanité et (..) rétablir une sorte de ’délit de blasphème’ absolument inacceptable".

    Au-delà de tout ça, nous réaffirmons que tant que les organisateurs n’auront pas compris que c’est à des militants et militantes victimes directes du racisme et à leurs alliées et alliés qu’il est impératif de donner la parole, il est évident qu’on ne pourra pas parler de "débat démocratique" sur le sujet.

    [1] Remis lors d’une cérémonie organisée le 19 mars 2012 par l’association Les Indivisibles, après le vote d’un jury composé cette année des comédiens Jalil Lespert et Aïssa Maïga, des rappeurs Mokobé et Youssoupha, des écrivains Faiza Guène et Alain Mabanckou, des sociologues Jean Baubérot et Nacira Guénif, de l’historien Olivier Le Cour Grandmaison, de la civilisationniste Maboula Soumahoro et des journalistes Florence Aubenas, Abdelkrim Branine, Sébastien Fontenelle et Frédéric Martel.

    [2] Nous aurions pu mobiliser davantage autour de nous sachant l’hostilité que Caroline Fourest suscite chez de nombreux militants et sympathisants antiracistes, antisexistes et/ou anticapitalistes. Mais, pour une parodie de remise de prix, ce petit nombre suffisait.

    [3] D’ailleurs, dès l’annonce de son nom, une bonne partie du public l’a huée, la qualifiant de raciste.

    L’un de nous deux, Bader, devait donner le signal de l’opération en annonçant au mégaphone la remise du Y’a Bon Award, tandis que la seconde, Myrto, profitant de cette diversion, devait remettre le prix à la lauréate. Dans la pratique, la diversion de Bader a bien fonctionné puisque le service d’ordre m’a mis au sol à deux reprises et étranglé. Mais pas assez bien pour Myrto, elle aussi violemment plaquée au sol alors qu’elle tentait simplement de déposer une banane dorée sur la tribune.

    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/627277-caroline-fourest-a-la-fete-de-l-huma-notre-version-des-faits-cote-indivisibles.html

  • Caroline rime avec Marine
    jeudi 13 septembre 2012 par le Bureau National de l’UJFP


    Cette lettre envoyée le 10 septembre 2012 à la direction de la fête de l’Huma 2012 au sujet de l’invitation lancée à Caroline Fourest de participer à un débat, n’a encore reçu à ce jour aucune réponse .

    "Paris le 10 septembre 2012

    Le bureau national de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP)

    à la direction de la Fête de l’Humanité

    Chers amis,

    Il n’est bien évidemment pas de notre rôle de donner un avis sur les invités du PCF et de l’Humanité à leur fête, à laquelle nous participons bien volontiers. Et nous savons bien que les responsables de la Fête ont à cœur d’inviter des personnes ayant des orientations très différentes, y compris ne se situant pas toujours à gauche.

    Mais l’invitation lancée à Caroline Fourest de participer à un débat précisément sur la lutte contre le Front national nous a surpris et heurtés.
    En effet, nous considérons qu’un des vecteurs les plus pervers du développement du Front national est, en se parant d’un discours sur la laïcité, une islamophobie plus ou moins assumée.

    Or le FN n’hésite pas pour cela à puiser explicitement son argumentation chez Caroline Fourest elle-même, qui dans sa lutte contre l’islam a été prise déjà en flagrant délit de mensonge (voir par exemple à ce sujet le chapitre à elle consacré par Pascal Boniface dans son livre "les intellectuels faussaires").
    Nous savons que de nombreuses voix, dont celles de beaucoup de nos partenaires dans la lutte pour les droits du peuple palestinien comme dans la lutte contre le racisme sous toutes ses formes, se sont élevées pour dire leur étonnement et/ou leur colère devant cette invitation.

    Dans la recherche de l’unité la plus large contre le Front national, cette invitation ne nous semble pas qu’une faute de goût.

    Salutations fraternelles,

    Le bureau national de l’UJFP"

    http://www.ujfp.org/spip.php?article2367&lang=fr

    • Caroline Fourest, « sérial-menteuse »

      « Selon moi, Caroline Fourest est au débat intellectuel ce qu’est Marion Jones à l’athlétisme. L’apparence est parfaite, les performances exceptionnelles. Mais, heureusement pour Caroline Fourest que le dépistage des « faussaires » est moins bien organisé que les contrôles anti-dopage. Si Marion Jones a été sanctionnée, Caroline Fourest truste toujours les plateaux télévisés. »….

      Début de la page 105 de « Les intellectuels faussaires, le triomphe des experts en mensonge » de Pascal Boniface, éd. Jean-Claude Gawsewitch, Paris Mai 2011

  • Les amis de l’huma en invitant Fourest alors qu’elle est controversée (doux euphémisme) savaient ce qu’ils faisait. Que l’inviter provoquerait de l’hostilité. Malgré les protestations, ils l’ont maintenue.

    L’incident a servi qui ? Pas ceux qui ont protesté, mais le PG et le conducator mélenchon qui à pu à bon compte crier à la liberté d’expression bafouée (et là dessus, il joue sur du velours). Accessoirement Fourest se pose en victime et bientôt en martyre de la Liberté...

    Puisque elle était là, il fallait la laisser prêcher ses adeptes, tout le monde s’en foutait.

    Au lieu de ça, l’opération permet à mélenchon le petit de resserrer les rangs autour du FdG, de sa petite et précieuse personne et de son discours de plus en plus franchouillard et populiste... ça pue !

    Je dis ça, je dis rien

    Carland

    • Je dis ça, je dis rien

      Non, non...

      T’as tout dis et bien dis.

      Depuis que les "camarades" des Amis de l’Huma invitent chaque année des personnalités non seulement contestées mais franchement contestables, (Le sommet ayant été Eric Woerth, avec tout de qui s’est passé ensuite qu’on sait), ma connaissance personnelle du milieu en question et de qui tire les ficelles des Camarades de bonne foi de l’Assoc, me laisse à penser que c’est rien moins qu’innocent.

      Comme tu dis, ça pue... La magouille.

      Et ça permet de crier à l’assassin et de désigner des ennemis à abattre pour cacher ceux qui oeuvrent à l’intérieur...

      Rien de nouveau sous le soleil.

      Mais quand on voit le niveau politique général de ceux qui restent à la base du PCF, même si quelques uns pensent qu’ils sont dans le vrai, la porte est ouverte à toutes les provocations.

      Parce qu’à la tête, PLUS PERSONNE ne peut dire "Je ne savais pas".

      Ils sont tous au courant et participent tous à la curée.

      Le tort a été de vouloir continuer "considérer" la Fête comme un événement plus ou moins révolutionnaire, alors qu’il ne s’agit plus que de la couverture d’un assassinat en règle de l’espoir révolutionnaire par les complices de nos pires ennemis.

      Et même "appeler" à manifester son mécontentement, même avec humour, là-bas, ne pouvait être que contre productif.

      C’est le boycott pur et simple avec des arguments circonstanciés et étayés, qu’il faut prôner dans ces cas là.

      G.L.

  • Heu, Caroline Fourest n’est pas spécialement privée de liberté d’expression à la différence de ceux qui ont protesté.

    Qaund donc permettra-t-on la liberté d’expression justement à ceux qui ne l’ont pas ?

    Qu’y a t il de formidable d’inviter des gens qui passent sans arrêt à la télé ? Est-ce cela un débat ?