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L’UNESCO prostituée à son tour

Publie le lundi 21 mars 2005 par Open-Publishing

L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et La Culture, connue sous l’abréviation anglophone UNESCO, et dont le siège est à Paris, est victime à son tour des agressions des multinationales. Dans le hall d’entrée trône un véhicule "innovant" produit par une multinationale française, concu par une femme. L’innovation est apparemment liée à l’origine féminine de sa conception...ce qui rappelle furieusement les fumisteries des experts des sciences de l’éducation, capables, eux, de qualifier d’innovation pédagogique un grand nombre de choses souvent cocasses.

Mais l’essentiel est ailleurs : il réside dans la mise sous coupe réglée de tout ce qui relève du patrimoine collectif.