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Le DDAY pendant qu’on y est encore un peu (zaz obliques)

par Ocséna, contre le système-ENA

Publie le lundi 9 juin 2014 par Ocséna, contre le système-ENA - Open-Publishing
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Le DDAY pendant qu’on y est encore un peu (zaz obliques)

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DDay. On a peu parlé de la belle Kay Summersby, le, la, chauffeur hyper-canon d’Eisenhower. Aujourd’hui en 2014 tu imagines les tas d’affaires et procès qu’il aurait sur le dos !, le malheureux Dwight

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DDay : on en a retenu les beautés, les “autres” moins. Pendant les 11 premiers jours du débarquement, c’était les ordres, les soldats allemands qui se rendaient étaient immédiatement abattus, on pouvait pas s’en occuper.

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Le seul avantage, au moins, de finir d’emblée sa vie à la guerre, c’est de n’avoir pas bêtement à crever après d’un cancer en traînant lamentablement des pieds.

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La France est évidemment dans une objective melerde (même pour tout dire elle est carrément d’elle-même en entier une fieffée vraie merde), l’astéroïde 2014 HQ124 cependant ne s’y est pas intéressé et a passé sans barguigner son bonhomme de chemin. Notre planète verte est certes bête oh ouais ! , hyper bête à souhait ! c’est démontré (surtout si l’on pense spécifiquement à l’hexagone, ses grandes Ecoles et Sciences Po Paris), l’astéroïde n’avait toutefois pas de temps à perdre.
La relève en outre est là pour l’avenir, grâce a l’intelligence artificielle. La Nasa a renoncé pas plus tard qu’hier au voyage humain sur Mars. Notre ordi perso déjà fait lui-même ses poèmes. Fredo n’a de son côté plus de jus pour réfléchir et moi pour faire de tête une très simple addition ordinaire. L’humanité se prépare donc à dégager le plancher. La guerre en Ukraine est un dernier baroud d’honneur.

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Nous avions, par pure sentimentalité coupable, commencé à écrire 5 ou 6 vies alternatives supposément plus joyeuses et réussies de Kay Summersby, mais nous devons bien concéder que sorti de la guerre qui embellissait tout, tout a foiré et donné finalement dans l’ennui. Heureux peut-être, mais rien n’est sûr, ceux qui sont morts à trente ans dans la période sans pareil de leur fictif et virtuel “floruit”. Qu’elle était belle Kay !

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Ocséna