REGARDONS AUTOUR DE NOUS, LA EST NOTRE FUTUR

Au Brésil, la pauvreté a reculé de 27,7 % au cours des quatre dernières années. Sous le premier mandat de Lula (2002 et 2006), le revenu des 10 % les plus pauvres de la population avait augmenté de 57,5 %.

En Bolivie, le nombre de personnes souffrant de faim, de malnutrition et d’insécurité alimentaire est passé de trois à deux millions entre 2007 et 2012.

En Equateur, depuis 2007, le taux de pauvreté extrême a reculé de 7 %.

Au Venezuela, de 1999 à 2013, l’économie a décollé grâce au rôle moteur de l’État et aux investissements publics, permettant à 4.185.697 personnes de trouver un emploi. Entre 2012 et 2013, le taux de pauvreté a encore chuté de 2%.

Les statistiques publiées par l’ONU et l’UNESCO placent Cuba à l’avant-garde des deux Amériques en ce qui concernent l’éducation et la santé.

Voici des réalités concrètes qui infligent un cinglant démenti aux thèses propagées par les apôtres du libéralisme. Alors que leurs politiques d’austérité génèrent pauvreté, précarité et suicides, les politiques sociales alternatives améliorent la vie de millions d’êtres humains. Alors que leurs privatisations et dérèglementations désorganisent l’économie et détruisent les liens sociaux, les gouvernements porte-étendard des révolutions citoyennes assurent le mieux vivre des populations en récupérant les richesses nationales et en résistant aux spéculateurs et aux multinationales.

Alors que les gouvernements des pays impérialistes restreignent les libertés individuelles et collectives, qu’ils criminalisent les mouvements populaires, les révolutions citoyennes organisent les instances de pouvoir à la base, pratiquent les référendums révocatoires et constitutionnalisent le droit des minorités.

Alors que les pays impérialistes prônent la compétition sauvage et multiplient les agressions militaires, les pays de l’UNA-SUR consolident des cadres pour développer la coopération sur des bases équitables et construire des infrastructures au service des peuples. Regardons donc autour de nous, notre futur passe par la décolonisation, par la réintégration dans notre environnement naturel et par la participation à la dynamique alternative qui s’y développe.