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Et puis peut-être que si j’aime Ferré, j’aime aussi Pasolini et Bernanos...

par Philippe Guillard

Publie le vendredi 19 janvier 2018 par Philippe Guillard - Open-Publishing

A ceux qui me reprochent d’avoir chanté Ferré, ou que cela fait rire, au vu des paroles et pensées que je véhicule aujourd’hui

Pour ma part, je ne pense pas que Ferré confondait la liberté avec la veulerie, à la mode et de mise aujourd’hui.

Et puis peut-être que si j’aime Ferré, j’aime aussi Pasolini et Bernanos. Entre autres. J’aime beaucoup le peintre Bonnard aussi. Et puis Cézanne qui disait que tout ses compatriotes étaient des culs.

Et je ne vois pas en quoi la parole de Ferré, lui qui appelait à décapiter les idoles, devrait être plus juste que celle d’un Bernanos, d’un Pasolini, d’un Philippe Muray, d’un DH LAwrence et j’en passe.

Je ne pense pas non plus qu’il aurait défendu une dictature de la pensée. Et peut-être même aimait-il, dans ses collines toscanes, comme Montaigne dans son Périgord, à frotter sa cervelle et sa pensée, à celle d’autrui, si tant est que de ce frottement puisse jaillir telle une étincelle, une vie plus large et plus belle.

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