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Chalon sur Saône, ville bleue

Publie le vendredi 24 mars 2006 par Open-Publishing
5 commentaires

Que s’est-il passé à Chalon sur Saône le jeudi 16 mars ? (d’après des témoignages de lycéens)

fin de manifestation jeudi vers 16 heures30. Le cortège s’est engagé dans la rue du Maréchal Leclerc et arrive au portail de la sous-préfecture. Une centaine de lycéens escaladent les grilles et s’assoient sur les pelouses devant le bâtiment de la sous préfecture.

Des CRS stationnaient dans l’enceinte. Une discussion pacifique s’engage entre les représentants des forces de l’ordre et un groupe de manifestants. Lorsque le sous préfet ouvre une fenêtre du batiment et donne l’ordre aux CRS de faire évacuer les lycéens présents daus l’enceintes du bâtiments. mais les grilles du portails d’entrée restent verrouillées.

S’en suit une mêlée ou règnent la confusion la plus totale. Les coups de matraques pleuvent et des grenades lacrymogènes sont lancées au milieu des manifestants, certaines à tir tendu blessant au visages pluseurs jeunes lycéens. Bon nombres de manifestants pris de paniques essaient d’escalader les grilles de l’enceintes mais dans l’affolement se blessent avec gravité dans les piques plagés au sommet des barreaux de gette grilles.

par dizaines les lycéens blessés se sont rendus aux urgences. Le personnel de l’hôpital, passablement débordé n’a plus qu’à soigner et recoudre les plaies occasionnés par les coups reçus et par les grilles de l’enceintes. Il va sans dire que c’est le traumatisme psychologique qui risque d’être le plus difficile à cicatriser.

On peut trouver d’après la mêm source autorisée, en l’occurence le Journal de Saône et Loire plusieurs articles relatant les faits : En premier, le compte rendu des évènements publié le lendemain à la une du quotidien en second une prise de position des professeurs d’un lycée chalonnais qui dénoncent les exactions et le zèle empressé des forces de l’ordre.

Liens : http://www.lejsl.com/semaine/2006.0...

http://www.lejsl.com/semaine/2006.0...

Messages

  • Il faut que les parlementaires votent une motion de censure pour faire tomber Villepin... Car certains parlementaires du centre et de droite la voteront. Ils commencent à être lassés de ce CPE et de l’entêtement du chef du Gouvernement.

  • Juste pour reagir le jeudi en question il n’y avait aucun crs mais seulement policier de l’urbaine stationnés dans la sous prefecture et de plus aucuns tir tendu de lacrymogéne n’a pus être réalisé car il n’y "avait que" des grenade à mains.

    • je répond a la personne disant qu’il n’y avait aucun crs c’est faux il y en avait : bouclier, matraque, genouillere, protection ventrale et dorsale ; il y avait 4 cars entier de crs, des voitures de polices, des policiers qui cadrillaient la zone.
      Et si il y a eu des grenade de fumigène puisque j’en ai reçu une près du visage !!
      Il n’y avait pas que des grenades a mains, car j’ai discuté avec des crs avant la "fusillade" et je les voyait très bien leurs "fusils" et ils m’ont meme expliqué comment cela marchait, qu’est e qu’il y avait dedans ...ect !

    • Non c’est faux il n’y avait pas que des grenades a main , un policier avait un lance grenade ( que l’on a d’ailler pris au début pour un flashball) et des tirs tendus ont donc bien eté realisé peut etre involontairement mais il n’a qu’a regarder le nombre de vetement brulés sur les manche ou dans le dos pour s’en rendre compte . Pour information je suis un des 12 lycéen entré les premiers dans la sous préfècture et j’étais donc en première ligne .)

    • moi aussi gétè dedans ,je vien de lire larticle et i fo bien admettre que cette article est un peu fort de plus lé crs de macon st arrivé après la "bataille" il fo reconnaitre q’au début ce n’étè que des policiers qui étè tou de mmeme bien équipé mais les crs st venu lomtemp aprè de plus lé urgence comme le dis l’article nont pa été débordé certe il ya eut une bavure ,une trè groose bavure car il yorè put avoir eut des mort accose des grilles alors olieu demplifié lé évènement agissons