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Lettre ouverte à ceux qui envisagent de participer au banquet de CRIF

Publie le samedi 28 février 2009 par Open-Publishing
10 commentaires

Lettre ouverte à ceux qui envisagent de participer au banquet de CRIF

Madame, Monsieur,

Vous envisagez peut-être de vous rendre au dîner du CRIF, en pensant ainsi marquer votre refus de l’antisémitisme et votre sympathie pour les Juifs.

Nous pensons pouvoir dire qu’en agissant de la sorte vous iriez à l’encontre du but que vous vous seriez fixé.

Rappelons que le CRIF a organisé le 4 janvier dernier, en pleine offensive israélienne contre la population de la bande de Gaza, une manifestation de soutien à l’Etat d’Israël. En organisant cette manifestation le CRIF a non seulement exprimé son accord avec une politique criminelle mais en appelant les « Juifs de France » à soutenir la politique israélienne il a contribué explicitement et directement à « importer en France le conflit du Moyen Orient », faisant apparaître ainsi les Juifs comme les complices des crimes commis par les Israéliens contre les Palestiniens et prenant délibérément le risque de développer des sentiments antijuifs.

Dans ces conditions, accepter de participer aux agapes organisées par le CRIF, c’est à la fois soutenir les crimes perpétrés par l’armée israélienne contre les Palestiniens et contribuer à enfermer les « Juifs de France » dans une idéologie meurtrière.

Il est temps de comprendre que le CRIF d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec le CRIF des origines, né de la Résistance contre l’occupation nazie en France, que son appel aux Juifs de France à soutenir la politique israélienne revient à les enrôler au service d’une politique criminelle menée par un Etat étranger.

C’est pourquoi nous considérons que la participation au banquet de CRIF est devenue, sinon une manifestation d’antisémitisme, du moins une forme de mépris envers les Juifs en même temps qu’elle marque l’approbation de la politique israélienne de destruction de la société palestinienne.

Quant à l’émission sur Public Sénat, nous la considérerions comme une manifestation de propagande sioniste, voire en dernière analyse pour les raisons exposées ci-dessus antijuive et qui de ce fait ne devrait pas avoir sa place sur une chaîne de service public.

Le Bureau national de l’Union Juive Française pour la Paix, 28 février 2009


pour mémoire

http://schlomoh.blog.lemonde.fr/2009/01/06/la-feuille-de-chou-n%C2%B01523-ijan-argentinamouvement-antiguerre-israelienfemmes-israeliennes-contre-la-guerreujre-et-le-crif/

UJRE contre la guerre et le CRIF

COMMUNIQUE DE PRESSE

Interrogé dimanche matin [04/01/2009] sur Judaïques FM, un vice-président du CRIF déclare que celui-ci appelle naturellement « au nom de toutes les associations du CRIF » à une « manifestation de soutien à Israël », contrairement à la manifestation organisée la veille qui à l’en croire, aurait été « une manifestation de soutien au Hamas ».

Membre fondateur du CRIF, l’UJRE née de et dans la résistance au nazisme et à l’antisémitisme dément ces propos du CRIF sur deux points :

 1. Elle n’a aucunement manifesté son soutien au Hamas : la manifestation [du 03/01/2009] à laquelle elle a, avec nombre d’organisations et de partis politiques, appelé à participer et participé n’avait d’autre objectif que d’affirmer son hostilité à la guerre et de témoigner de sa solidarité avec le peuple palestinien et, plus particulièrement avec la population de Gaza qui dès avant l’offensive de l’armée israélienne vivait à 85% au-dessous du seuil de pauvreté et qui, écrasée sous les bombardements, paye un lourd tribut à la guerre. Fidèle à la ligne que l’UJRE ne cesse de défendre, elle réaffirme sa conviction que la paix résulte non de la guerre mais de la volonté à tous les niveaux, y compris à celui du gouvernement français, de l’UE et de l’ONU, de prendre des positions et des mesures efficaces pour que s’instaure une paix juste et durable conforme aux décisions de l’ONU, dans la reconnaissance du droit à l’existence de deux Etats, Israël et la Palestine.

 2. Elle dénie au CRIF le droit de s’exprimer au nom de tous les juifs de France. Elle n’a pas été consultée sur l’objectif de la manifestation d’aujourd’hui [04/01/2009]. L’eût-elle été qu’elle se serait refusée à cautionner la politique d’un Etat dont tel dirigeant vient de prédire « une guerre totale ».

Appeler à « soutenir Israël », formule vague au demeurant, ne conduira pas à la paix au Proche-Orient mais peut très bien contribuer à élargir ce conflit à la France.

L’UJRE demande au CRIF de bien vouloir prendre en compte le fait que la communauté juive de France n’est pas israélienne et de respecter ses adhérents et leur diversité d’opinion.

U.J.R.E.

4 janvier 2009


http://www.pcfmontreuil.org/article-27077938.html

Lettre de Marie-George Buffet au Président du CRIF, Richard Prasquier suite aux propos tenus lors d’une interview du Président du CRIF sur RFI.

« Paris, le 17 janvier 2009.

Monsieur le président,

J’ai entendu vos propos, ce vendredi matin, sur Radio France internationale et je veux réagir avec beaucoup de sincérité mais aussi avec une détermination intacte dans mon combat pour donner une chance à la paix.

Vous avez dénoncé l’antisémitisme, vous savez que vous trouverez toujours les communistes à vos côtés dans ce combat comme dans celui contre le racisme.

Mais vous avez aussi assimilé la position du Parti communiste français à celle des groupes islamistes radicaux voir à celle du terrorisme international. Cela n’est pas acceptable.

Cela n’est pas acceptable en regard des rapports entre nos deux organisations marqués jusqu’à présent par le débat, la confrontation mais la reconnaissance de la parole réellement portée de part et d’autre.

Cela n’est pas acceptable en regard des combats menés par les communistes français tout au long de leur histoire, parfois au prix de leur sang.

Cela n’est pas acceptable au nom de la mémoire de ces résistants juifs et communistes ou l’inverse et qu’importe car à l’époque ils se sont trouvés ensemble face à l’inhumanité.

Cela n’est pas acceptable pour tous les justes qui sont dans nos rangs.

Cela n’est surtout pas acceptable pour donner sa chance à la paix !

Donner sa chance à la paix ne passe pas par une offensive militaire source de nouveaux de victimes innocentes et d’un engrenage de violences.

Je ne veux porter, avec les communistes, qu’un seul message, pour que la paix s’installe dans cette région, il faut arrêter les colonisations, les annexions, le mur, il faut un Etat Palestinien libre, viable sur les frontières de 1967, indépendant au coté d’un Etat Israélien, vivant en sécurité et en coopération !

Pour que le dialogue reprenne sur cet objectif, il faut un cessez le feu total, c’est-à-dire l’arrêt de tous les bombardements, le retrait des troupes israéliennes de Gaza, la mise en place d’une force de protection internationale sous l’égide de l’ONU que l’Union Européenne pourrait immédiatement exiger.

Vous le voyer, ce qui me mobilise, c’est la paix et le droit des peuples à vivre libres et le peuple palestinien à ce droit dans le respect et la coopération avec les autres nations.

Monsieur le Président, je continuerai à agir en ce sens et , je souhaite que cette volonté nous sois commune.

Marie-George Buffet,

Secrétaire nationale du PCF, Députée,
ancienne ministre de la jeunesse et des sports


Meeting du CRIF à la Mutualité : communiqué de la Section de Douai du PCF


Nous partageons l’indignation de nos camarades de Douai et invitons les communistes à intervenir auprès de Mme Borvo (nicole.borvo@senat.fr) pour qu’elle sorte la direction du PCF de ce que nous espérons n’être qu’un faux pas. PCF Paris 15ème

MEETING DU CRIF A LA MUTUALITE, communiqué de la section de Douai du PCF

Dans son édition datée des 11 et 12 février « Le Monde » publie une publicité du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) appelant à un « meeting » à Paris, à la Mutualité le 13 février « contre la menace iranienne ». L’Iran est présenté dans cet appel comme « un danger mortel pour la paix dans le monde » dans la mesure où :
 Il défierait « le concert des Nations Unies par un programme nucléaire militaire »
 Il a organisé « une conférence négationniste internationale »
 Il multiplie « les appels à rayer Israël de la carte »

Il est indiqué dans cette publicité « qu’ont donné leur accord de principe pour prendre la parole à ce meeting », entres autres : François BAYROU, Bertrand DELANOE, Ségolène ROYAL, Nicolas SARKOZY, … et Nicole BORVO.

Que l’on retrouve dans une telle aventure celui qui, dans son discours de Toulon il y a quelques jours, s’est placé à l’ombre de Le PEN après s’être placé sous celle de BUSH à l’automne dernier, ne surprendra personne. On connaît la ligne atlantiste de l’UDF. Que le maire de Paris, comme la candidate socialiste, soient présents ne surprendra pas beaucoup plus : les déclarations de Mme ROYAL sur l’Iran, qui vont bien au delà des résolutions de l’ONU, sont connues, de même que la mansuétude dont elle fait preuve, comme DELANOE, à l’égard du mur de l’apartheid en Palestine, pourtant condamné par plusieurs résolutions internationales.

Mais que la sénatrice de Paris, dirigeante nationale du PCF, participe à une entreprise dont les responsables n’ont que mépris pour le droit international et les résolutions de l’ONU, et notamment le droit du peuple palestinien à un Etat, est proprement ahurissant. Antisémitisme et révisionnisme sont intolérables, et doivent être combattus. Mais après la guerre menée par Israël contre le Liban et la Palestine l’été dernier, après la décision du président américain de poursuivre et renforcer la guerre contre le peuple irakien avec 21500 soldats supplémentaires, après les menaces de frappes américaines et israéliennes sur l’Iran une telle présence à la Mutualité, le 13 février, ne peut être qu’un encouragement aux agressions américaines et israéliennes au Moyen Orient. C’est d’autant plus inacceptable que le peuple américain vient de montrer massivement, il y a deux semaines, sa mobilisation contre la guerre et la politique de Bush.

Non, les responsables du PCF n’ont pas à se transformer en supplétifs des USA et d’Israël. Ils ont tout au contraire à faire naître en France une mobilisation de masse, y compris par des manifestations unitaires, pour la paix et la reconnaissance des droits du peuple palestinien, comme pour le droit à la liberté et à l’indépendance nationale des peuples du Moyen Orient. Douai le 12/02/2007

http://pcf-paris15.over-blog.com/article-5628930.html


précision : le diner du CRIF aura lieu le 2 mars, avec Sarkozy en invité principal

Patrice

Messages

  • http://www.crif.org/?page=articles_...

    12/12/06

    Le PCF condamne la « stratégie nourrie de propos antisémites » de sa direction clandestine pendant la guerre »

    Le cabinet de Marie-George Buffet a informé le CRIF de la prise de position du PCF à la suite de la publication du livre de M. Besse et Pennetier : Juin 40, la négociation secrète – les communistes français et les autorités allemandes.

    Dans son communiqué, le PCF écrit :

    « Nous savons depuis longtemps que la direction clandestine du PCF, en 1940, avec à sa tête Jacques Duclos et Maurice Tréand, a cherché à retrouver, sous la pression de l’Internationale, des espaces d’expressions légaux, notamment en négociant avec les Allemands la reparution de l’Humanité.

    Le livre de Claude Pennetier et Jean Pierre Besse, historiens reconnus pour le sérieux de leurs travaux scientifiques, révèle que cette stratégie fut aussi nourrie de propos antisémites tout à fait odieux. Nous ne pouvons que condamner ces propos avec la plus grande vigueur, y compris en nous appuyant sur les mises en garde de hauts responsables de l’époque.

    Cette stratégie injustifiable, qui était aussi le fruit d’une analyse partagée par l’ensemble des cadres dirigeants de l’URSS et de l’Internationale communiste, fut heureusement abandonnée à partir d’août 1940.

    Ces événements sont l’Histoire tout comme sont l’Histoire les efforts de reconstruction clandestine du parti, la relance d’une activité revendicative, l’exigence de l’indépendance nationale, la dénonciation du régime de Vichy, l’activité des militants ignorant tout des tractations puis des règlements de compte de sommet, la résistance que les communistes organisent dès cette période sur tout le territoire. Et cela est tout à l’honneur de ces femmes et ces hommes membres du PCF qui en cette période trouble ont su prendre le chemin de l’honneur.

    C’est à eux à elles que nous pensons aujourd’hui, à elle et à eux dont notre parti est fier. »

    Source :http://www.crif.org/?page=articles_...

    Les dirigeants du CRIF, fieffés réactionnaires, n’ont plus rien à voir avec le CRIF historique né de la Résistance, pas même avec celui que dirigeait Théo Klein, un "homme de bien"

    Patrice

    • Au nom de mon papa et de ma maman, le premier qui fut prisonnier politique e 39 à 45, Médaillé de la Déportation et la deuxième Médaillée de la Résistance ; au nom de ma Grand-tante Claire, qui sauva une petite enfant juive et qui l’adopta par la suite, ainsi qu’en mon propre nom de militant durant quelques décennies, je dis que ceux qui dans le PCF, au CRIF et partout ailleurs répandent de pareilles insanités sur le rôle du Parti et des Communistes durant la lutte contre la Nazisme ces gens là sont des enc....lés pourris.

      Qui cautionnent le régime fasciste expansionniste et génocidaire d’Israël et leurs soutiens multinationaux, et qu’ils méritent ce qu’on leur aurait donné à la Libérations s’ils avaient eu les couilles pour le déclarer comme aujourd’hui ... <>

      Et encore c’est trop gentil.

      Signé,

      Un militant communiste durant 40 ans, issu de deux générations de communistes internationalistes, qui ne regrette pas de ne plus cautionner cette direction d’enfoirés et de lèche-culs.

      G.L.

    • Juin 1940 : la négociation de trop

      Le 20 juin 1940, alors que les troupes allemandes occupent Paris depuis une semaine, la police française arrête trois militants communistes allant à un rendez -vous que leur a fixé l’autorité allemande de censure.

      Les policiers saisissent des notes rédigées par Maurice Tréand et par Jacques Duclos, dirigeants communistes, qui détaillent leurs intentions politiques dans les négociations engagées avec l’ambassade d’Allemagne, ainsi qu’une maquette de l’Humanité à paraître le surlendemain.

      Ces documents qui viennent d’être retrouvés dans les Archives de la Ville de Paris sont publiés par les historiens Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier. Retour sur un épisode éphémère et tragique de l’été 1940.

      Juin 40, la négociation secrète. Les communistes français et les autorités allemandes, par Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier.

      Éditions de l’Atelier, 2006 , 210 pages, 14,90 euros.

      Juin-août 1940, des négociations se nouent, dès son arrivée à Paris, entre l’occupant et les dirigeants communistes rentrés de Bruxelles le 15 juin, Maurice Tréand (alors responsable de la commission des cadres du PCF) qui va au charbon, Jacques Duclos (alors secrétaire du comité central) qui pilote.

      Objectif : reparution de la presse communiste, libération des militants emprisonnés, réinstallation des élus. La ligne légaliste domine jusqu’à la fin août, au-delà des instructions du Komintern, dont une directive demande le 22 juin d’utiliser la « moindre possibilité favorable », vieux principe léniniste, pour sortir la presse, mais stipule aussi de veiller à ne pas se compromettre avec l’envahisseur, contre qui est contradictoirement demandé de faire un « front » de défense des « intérêts vitaux » de la nation et de « lutte contre le joug étranger ».

      Le 5 août, une note du Komintern exige l’arrêt des tractations engagées.

      Les historiens Jean-Pierre Besse et Claude Pennetier rouvrent ce dossier, détaillent la chronologie des démarches, tentent d’en saisir la genèse et les ressorts. C’est tout l’intérêt de ce travail, même si on peut discuter telle analyse ou tel fait.

      À l, un document choc : les notes de Tréand, canevas d’une future rencontre avec Abetz (plénipotentiaire du ministère des Affaires étrangères du Reich et futur ambassadeur d’Allemagne en France), saisies sur une jeune militante communiste mobilisée par Tréand, Denise Ginollin, lors de son arrestation par la police française le 20 août. Choc, en effet : mentions du « juif Mandel » dans la critique (classique) des derniers gouvernants de la IIIe République ; revendication de sabotages dans les usines de guerre ; rappel que « notre lutte » contre lesdits gouvernants « a facilité votre victoire » et que « pour l’URSS nous avons bien travaillé, par conséquent, par ricochet pour vous ».

      Argumentation bassement politicienne pour se faire bien voir ? Certes, mais pas seulement. Il s’agit aussi de montrer que le Parti est la seule force avec qui il faut compter, que les masses sont avec lui.

      D’où une sorte de chantage : si vous autorisez la presse, « nous ne ferons rien pour vous mais rien contre vous », pas d’éloge de Hitler ou de Staline, mais une explication « entre Français ». Sinon, « si vous ne nous permettez pas de canaliser, mouvement des masses », elles se radicaliseront et rejoindront de plus en plus le Parti. Dramatique panache pour finir : l’Huma paraîtra de toute façon, « vous pouvez m’arrêter, me fusiller, fusiller nos vendeurs vous êtes les maîtres mais nous sommes la classe ouvrière », « nous sommes plus forts qu’avant votre entrée ».

      Ces notes expriment l’avancée extrême de la ligne de « guerre impérialiste », l’abandon de toutes les valeurs affirmées durant les années trente, une ignoble pointe antisémite et une dérisoire affirmation de puissance, véritable auto-intoxication alors que le Parti est au fond du gouffre.

      Le pathétique sursaut final de dignité ne saurait masquer ces dimensions.

      Terminons avec un second document inédit, issu des archives Thorez versées récemment aux Archives nationales. En 1948-1949, une enquête commanditée par le secrétariat du Parti communiste conclut à une condamnation radicale de la ligne suivie en 1940 et des mises à l’écart qui suivirent. Elle restera enfouie dans les secrets de l’appareil.

      (*) Auteur de la Négociation ; été 1940 : crise au PCF, préface de Serge Wolikow, Éditions Syllepse, 2001.

      Roger Bourderon (*), historien

      http://www.humanite.fr/2006-12-12_T...

    • mentions du « juif Mandel » dans la critique (classique) des derniers gouvernants de la IIIe République ; revendication de sabotages dans les usines de guerre ; rappel que « notre lutte » contre lesdits gouvernants « a facilité votre victoire » et que « pour l’URSS nous avons bien travaillé, par conséquent, par ricochet pour vous ».

      Et en dehors de cette "note" quoi d’autre ???

      Elle a été "saisie" sur une "jeune militante" arrêtée par les autorités d’occupation. Personne ne se pose, à l’époque ni aujourd’hui, la question sur une possiblité d’intox. Alors qu’on sait que c’était une des spécialités de la Propangastaffel allemande et du Gouvernement d’occupation ?

      Pour les "mises à l’écart" par le Parti à la Libération : Quid des personnes concernées ? Les nom, et les fonctions ?

      Duclos aurait été "mis à l’écart" ? Pas au courant ! Documents sur le sujet ???

      Simplement pour l’instruction des masses.. Bien sûr !!!

      Ce genre d’affirmations ça ne supporte pas l’imprécision.

      Parce que si vous voulez, ce genre de "montage" à la con, on en voit tous les jours aujourd’hui, du Reichstag à Tarnac jusqu’en Guadeloupe. La CIA y est même passée maître. Et en 39 ça serait une grave erreur de penser qu’ils étaient plus nuls qu’aujourd’hui.

      G.L.

  • information à vérifier, mais il semblerait que Sarkozy ne se rendrait pas au diner du CRIF

    Dîner du CRIF : Sarkozy se désiste ?

    Il serait inadmissible qu’un représentant officiel du PCF s’y rende, sauf à vouloir subir une n° humiliation, et soutenir un Etat Fasciste et Criminel

  • Cette année, le PC n’a pas été invité au dîner du Crif

    Le rendez-vous est toujours très couru. Demain soir, les personnalités politiques de droite comme de gauche seront très nombreuses parmi les quelque 850 invités du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), qui se déroulera au pavillon d’Armenonville, dans le bois de Boulogne. Le contexte est cette année marqué par l’augmentation des actes antisémites en France, non sans rapport avec l’offensive israélienne déclenchée en décembre dernier à Gaza.

    Selon les organisateurs, l’invité d’honneur devrait être Nicolas Sarkozy. Hier, sa présence n’était cependant pas confirmée par l’Elysée et le dîner ne figure pas à l’agenda officiel du président, dont la journée est très chargée : le matin, il sera à Charm el-Cheikh (Egypte) pour la conférence internationale sur la reconstruction de Gaza. En fin d’après-midi, il assistera à Levallois (Hauts-de-Seine) aux obsèques de la lycéenne victime de l’attentat du 22 février au Caire. En 2008, la venue du chef de l’Etat avait marqué une rupture : depuis l’instauration du dîner du Crif, en 1985, c’est le Premier ministre qui en était traditionnellement l’invité d’honneur. François Mitterrand avait dérogé une fois à la règle en s’y rendant en 1991.

    Martine Aubry absente, Delanoë, Hamon et Huchon présents

    Demain soir, François Fillon sera présent, comme une grande partie du gouvernement (Michèle Alliot-Marie, Rachida Dati, Brice Hortefeux, Christine Lagarde, Eric Besson, Xavier Darcos, Valérie Pécresse, Michel Barnier, Roger Karoutchi, Rama Yade…). Bernard Accoyer, président de l’Assemblée, et Gérard Larcher, président du Sénat, seront là de même que Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP. Si Martine Aubry, partie quelques jours au Maroc, sera absente, il y aura de nombreux socialistes : Bertrand Delanoë, Claude Bartolone, Benoît Hamon, Jean-Paul Huchon, Harlem Désir, Anne Hidalgo… Cette année, le PC en tant que tel n’a pas été invité. Motif : il a participé aux manifestations contre l’offensive israélienne durant lesquelles certains slogans ont été jugés intolérables par le Crif.

    http://www.leparisien.fr/societe/ce...

  • j’ai appris de le CRIF ne voulait pas inviter le PCF au son banquet annuel. Pour moi ça tombe bien car je pense qu’on a pas aller baffrer avec des gens qui soutiennent un état criminel , et qui n’a pas une once de compassion pour les palestiniens, mêmes ceux de GAZA. Et qui en plus , traite d’antisémites , ceux qui ne sont pas sur ces positions.De GAULLE disait que le peuple juif était un peuple d’élite sûr de lui même. Son élite intellectuel et humaniste a quasiment disparu, pour faire place aux militaires , bref le peuple d’ISRAEL est un peuple de brute.
    Ce n’est pas aux communistes français de se remettre en question