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Votation la poste : de quoi la CFDT est le nom.

Publie le lundi 12 octobre 2009 par Open-Publishing
3 commentaires

Lisez ce trac :

La haine contre "le petit facteur", c’est de bonne guerre.

MAIS L’ARGUMENT : LA POSTE A BESOIN DE FRIC.

Alors là, on est dans la 5eme dimension.

Sauf les sociaux traitres habituels de la CFDT, personne ne nie que la Poste est une entreprise saine.

Et donc que c’est pour cela que des investisseurs privés ont envie de privatiser cette anomalie insupportable.

C’était la rubrique : c’est pas grave, j’ai personne de la CFDT dans a famille.

Messages

  • Bonne nouvelle,après étude ;moi non plus je n’ai personne au merdef et a l’ump.....momo11

  • Y vont finir par demander ouvertement de voter pour Sarkozy... Dire qu’il y a des naïfs qui adhèrent encore à se syndicat, on marche sur la tète, du moins c’est à se demander si certains on encore quelque chose dedans, la tète !

  • pour comprendre le virage à droite de la CFDT (qui date de 1979 rapport Moreau) , l’accompagnement de toutes les casses sociales de la droite dure, l’enfumage des salariés, le sabotage des luttes sociales revendiqué encore une fois par Chéréque le 7 octobre 2009, de rien de mieux que le blog du Premier Ministre François Fillon lui même

    extrait du blog de Fillon "la CFDT dialogue avec l’UMP"

    Disposer d’un diagnostic partagé, comme ce fut le cas pour la réforme des retraites, qui rend impossible le recours aux slogans simplificateurs ou la défense du statu quo.

    Donner toute sa place au dialogue social en recherchant toutes les voies d’accords possibles avec les partenaires sociaux quand la réforme entre dans le champ de leurs compétences.

    Respecter les engagements pris à l’égard des partenaires qui acceptent d’entrer dans la voie du dialogue et de l’accord. La fermeté doit aller de pair avec la capacité d’écoute et de compromis.

    Pour débattre de cette question essentielle pour la France qui peine à entrer dans le nouveau siècle, engoncée qu’elle est dans ces habitudes et ses certitudes nous avions invité à s’exprimer un représentant du ministre Danois des affaires sociales et Jean Marie Toulisse, le numéro deux de la CFDT, avec lequel j’ai négocié l’accord sur la réforme des retraites.

    La presse, hypnotisée par l’instant présent, ne retiendra de cette belle réunion que la déclaration de Nicolas Sarkozy annonçant qu’il n’avait pas, pour le moment, l’intention de quitter le gouvernement. Comme d’habitude elle passera à coté de l’essentiel.

    L’essentiel est que 1200 cadres de l’UMP ont fait une ovation à un responsable de la CFDT qui pour la première fois dans l’histoire de cette centrale syndicale a accepté de venir dialoguer sans tabou avec la première formation de droite de notre pays.

    Jean Marie Toulisse a d’ailleurs avoué que c’était la première fois qu’un parti politique faisait cette démarche vis-à-vis de la CFDT.

    Cet évènement est considérable. Il montre que les relations entre les politiques et les syndicalistes peuvent changer du tout au tout pourvu que nous en ayons la volonté et que nous engagions, comme je l’ai maintes fois proposé sur ce blog une révolution dans notre façon de faire de gouverner et simultanément dans l’ordonnancement du paysage syndical.

    Au passage Jean Marie Toulisse a pris en exemple la réforme des retraites qui constitue la preuve qu’il n’y a pas de malédiction qui pèse sur la réforme en France mais seulement une incapacité des responsables politiques de droite comme de gauche à procéder avec méthode.

    La direction confédérale de la CGT le sait pertinemment, et nous entraine droit dans le mur au nom du "syndicalisme rassemblé"

    L’échec des mobilisations du printemps dernier, leur sabotage planifié par la CFDT, sont la résultante de cette stratégie erronée.

    Le 7 octobre, journée de la misère syndicale n’a pas suffit à comprendre ?

    Quand notre CGT se réveillera-t-elle ?