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Le PCF retire de son site le communique de MGB à propos de Robert Pandraud...

Publie le vendredi 19 février 2010 par Open-Publishing
15 commentaires

de Roberto Ferrario

On peux pense que je suis encore exagéré a parle dans cet façon... Et bien voila un "scoop" de Bellaciao...

Après que on a publie le communique de MGB a propos de la mort de Robert Pandraud Ministre délégué de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988) et avoir fait remarque a la direction du PCF que été le même ministre des "policier voltigeur a moto" que on assassine Malik Oussekine le 6 décembre 1986 et que un nombre impressionnant des camarades on proteste indigné par cet prise de position de MGB le site national du PCF retire de son propre site le communique en question... a cet heure 19h45 la page est blanche et dans la page d’accueil plus aucun trace...

On est entrain de subir dans ces dernier heures une avalange de tentative de pollutions de notre site par des "prétendu" membres de la même direction ou "prétendu" adhèrent au parti, naturellement on se refuse de croire a leur l’identité propose... ;-)

Manœuvre un peux minable de parte de la direction du PCF parce que en plus juste aujourd’hui un article sur L’Humanite reprendre tel quel le même communique de MGB... sans parle de toute la presse bourgeoise que dans une façon "gourmand" a repris le même texte...

Dans le code source de la page de cet communique on peux que trouve cet misérable ligne :

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QUAND LE PCF SALUE LA MEMOIRE DE PANDRAUD

" Décès de Robert Pandraud : réaction de Marie-George Buffet

Apprenant la disparition de Monsieur Robert Pandraud, ancien député de la Seine Saint-Denis, ancien ministre, je tiens à présenter toutes mes condoléances à sa famille et à ses amis. Tout le monde s’accordera pour reconnaître sa fidélité indéfectible à ses idéaux. Il aura marqué de son empreinte le paysage politique français.

Marie-George Buffet, Députée de Seine-Saint-Denis

Paris, le 18 février 2010."

http://www.pcf.fr/spip.php?article4551


L’HUMANITE de ce jour :

La mort de Robert Pandraud Ministre délégué de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988), marquée par une série d’attentats, Robert Pandraud, mort jeudi à l’âge de 81 ans, laisse le souvenir d’un "grand flic" épris d’ordre, entré en politique auprès de Jacques Chirac et homme-clé du RPR.

Né le 16 octobre 1928 au Puy (Haute-Loire) de parents instituteurs dans le Cantal, étudiant boursier, Robert Pandraud est affecté, à sa sortie de l’ENA en 1953, au ministère de l’Intérieur. Il y commence une carrière de haut fonctionnaire qui lui permettra de connaître, au fil de ses affectations, les arcanes de la Place Beauvau.

A partir de 1968, il occupe durant treize ans des postes-clés, avant de devenir directeur général de la Police nationale (1975-1978).

En 1981, Robert Pandraud est nommé inspecteur général de l’administration du ministère de l’Intérieur, après l’arrivée des socialistes au pouvoir.

Il se tourne alors vers la politique et rejoint Jacques Chirac à la mairie de Paris en mars 1982. Député (RPR puis UMP) de Seine-Saint-Denis (1986-2007), ancien conseiller régional (RPR) d’Ile-de-France (1992-1998), Robert Pandraud restera un homme-clé du parti.

Malik Oussekine insulté

En mars 1987, il lâche à propos de Malik Oussekine, 22 ans, mort après avoir été matraqué par des policiers dans le Quartier Latin lors d’une manifestation le 6 décembre 1986 : "Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit".

Commentant en février 1988, la grève de la faim menée par les dirigeants historiques d’Action directe, arrêtés un an plus tôt, il déclare : "Faire la grève de la faim, c’est leur droit. On peut toujours faire des régimes d’amaigrissement".

Membre du bureau politique de l’UMP depuis 2004, il présidait depuis 2005 la commission d’organisation et de contrôle des opérations électorales du parti présidentiel.

Mis en examen en 2002 pour "détournement de fonds publics et complicité" dans l’affaire des chargés de missions de la Ville de Paris, il bénéficiera d’un non-lieu, les faits commis en 1992 étant prescrits.

Les réactions :

Charles Pasqua a raconté jeudi combien il était "pratiquement inséparable" de Robert Pandraud. "Nous étions complémentaires. J’étais plus politique, il était plus technicien", a-t-il ajouté.

L’ancien président Jacques Chirac a fait part jeudi de sa "très grande tristesse" à l’annonce du décès de Robert Pandraud, qui fut un de ses collaborateurs et ministre de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988).

La députée communiste de Saine-Saint-Denis Marie-George Buffet a salué jeudi la mémoire de l’ancien ministre à la Sécurité Robert Pandraud, élu du même département, dont elle souligne qu’il "aura marqué de son empreinte le paysage politique français".

"Tout le monde s’accordera pour reconnaître sa fidélité indéfectible à ses idéaux", écrit-elle dans un communiqué.

Claude Bartolone, député PS de Seine-Saint-Denis, "souhaite saluer le parcours de cet élu de la République respecté de tous" qui fut "député de la Seine-Saint-Denis de 1986 à 2007". "En consacrant vingt années de son existence au service des séquano-dionysiens, Robert Pandraud a témoigné d’une fidélité remarquable et d’une compétence reconnue".

Le président Nicolas Sarkozy a rendu hommage à l’ancien ministre Robert Pandraud décédé jeudi, saluant en lui "un très grand serviteur de l’Etat" qui sut "rétablir la sécurité" lorsque "la France fut frappée par une terrible vague d’attentats terroristes" en 1986.

http://www.humanite.fr/La-mort-de-Robert-Pandraud

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