Je travaille pour une chaîne de hard-discount française, mais, Dieu merci, les conditions de travail ne sont pas aussi dures qu’au Lidl d’en face (les hard-discounters ont une certaine tendance à se concentrer dans le même quartier...). Le patron, un ancien chef de mag Lidl, a monté son propre magasin. Visiblement, le groupe allemand l’avait poussé à bout pour qu’il parte. Rendement insuffisant en caisse, en rayon etc... voici les reproches qu’on lui faisait. Pourtant, quand je le vois bosser, je suis surpris par sa productivité. On lui avait promis d’être chef de réseau, mais il ne l’a jamais été. En tout cas, une chose est sûre : il ne nous pressurise pas autant que lui ne l’a été lorsqu’il était salarié à Lidl. En plus il a le mérite de respecter le code du travail. Sans doute ne veut il pas faire subir les mêmes souffrances à ses salariés, ce qui est très bien. En tout cas, une chose est sûre : on a l’impression qu’il a monté son magasin uniquement pour prendre sa revanche sur Lidl.
Je travaille pour une chaîne de hard-discount française, mais, Dieu merci, les conditions de travail ne sont pas aussi dures qu’au Lidl d’en face (les hard-discounters ont une certaine tendance à se concentrer dans le même quartier...). Le patron, un ancien chef de mag Lidl, a monté son propre magasin. Visiblement, le groupe allemand l’avait poussé à bout pour qu’il parte. Rendement insuffisant en caisse, en rayon etc... voici les reproches qu’on lui faisait. Pourtant, quand je le vois bosser, je suis surpris par sa productivité. On lui avait promis d’être chef de réseau, mais il ne l’a jamais été. En tout cas, une chose est sûre : il ne nous pressurise pas autant que lui ne l’a été lorsqu’il était salarié à Lidl. En plus il a le mérite de respecter le code du travail. Sans doute ne veut il pas faire subir les mêmes souffrances à ses salariés, ce qui est très bien. En tout cas, une chose est sûre : on a l’impression qu’il a monté son magasin uniquement pour prendre sa revanche sur Lidl.