Accueil > ... > Forum 388644

Le maire de Carhaix, convoqué par la police judiciaire. La patience et le flegme ont leurs limites !

12 mai 2010, 07:47, par Adrien’

L’orthographe... si quelqu’un pouvait corriger le texte puis supprimer mon commentaire, ce serait parfait.

Le maire de Carhaix, convoqué par la police judiciaire. La patience et le flegme ont leurs limites !
mercredi 12 mai 2010 (01h07)
Trop c’est trop.

Depuis deux ans l’état et ses représentants aveuglés par leur volonté de vengeance harcèlent les défenseurs de l’hôpital de Carhaix. Aujourd’hui on apprend que Christian Troadec le maire de Carhaix est à nouveau convoqué par la police judiciaire vendredi 21 mai à 10h00.

Faut-il rappeler que la maternité de Carhaix est toujours menacée de fermeture  ? Est-ce de la part de l’état sarkozyste une énième tentative d’intimidation de la population du Centre Bretagne au travers des tracasseries dont est victime le maire de Carhaix pour mieux cacher ce qui se trame en coulisse  ? À savoir la destruction sournoise des services de l’hôpital par la privation des moyens techniques et humains.

Faudra-t-il l’écrire en Hongrois ? La lutte pour sauver notre hôpital est une lutte au long cours. Passeront les préfets et autres exécuteurs des basses œuvres, la lutte continuera. Les Centres Bretons sont des gens pacifiques mais n’ont pas l’habitude de se laisser emmerder quand il sont dans leur bon droit.

Quelles que soient les manœuvres, les coups bas, nous continuerons non pas à demander le maintien de notre hôpital mais à l’imposer et ce ne sont pas les menaces qui y changeront quoi que ce soit !

Tous ceux qui comme Bachelot et ses sbires, se sont mis au service de l’industrie pharmaceutique et des charognards des cliniques privées doivent savoir que nous ne sommes pas des moutons qui se laisseront égorger sans se battre.

Quand l’état et ses représentants faillissent, c’est pour chacun d’entre nous un devoir de remettre de l’ordre. Nous saurons comme en 2008 ré expliquer à la bande de Sarko le petit que le Centre Bretagne a besoin de ses services publics et que jamais nous ne lâcherons notre centre hospitalier.

Notre hôpital nous est vital. Le maintien de l’ensemble de ses services n’est pas négociable. Qu’on se le dise au sommet de l’état, quand on joue avec le feu on se brûle. Si nos élites avaient un minimum de culture, il sauraient pourtant que nous sommes les héritiers des bonnets rouges... !

Carland