C’est une honte ces licenciements de Porte et de Guillon, une honte ! Vous êtes honteux, M. Val et M. Hess. Vous êtes chacun de vous une honte. C’est parce que le goût de la honte vous agrée que vous pouvez la boire. Moi, non. Vous êtes des hontes, des carpettes de honte.
J’ai laissé ça, dans la correspondance de France inter (http://sites.radiofrance.fr/francei... :
C’est une honte ces licenciements de Porte et de Guillon, une honte ! Vous êtes honteux, M. Val et M. Hess. Vous êtes chacun de vous une honte. C’est parce que le goût de la honte vous agrée que vous pouvez la boire. Moi, non. Vous êtes des hontes, des carpettes de honte.