Convergence citoyenne pour une transition énergétique
1er septembre 2011, 19:24
Oui les plateforme de convergences, plus il y en a mieux c’est. Des réseaux de réseaux, redes en red, comme le nom de l’initiative catalane à Ruesta, dans l’aragon, l’an dernier. Il faut mailler tous les courants, se mélanger, discuter, argumenter dans le but d’entrevoir de quelle manière, à chaque niveau, dans chaque territoire, il est le plus pertinent d’engager la sortie du capitalisme. Un des outils les plus efficaces étant pour moi les monnaies locales complémentaires qui restent malheureusement absentes dans les programmes et les discours de toute la gauche, même écologiste. A toulouse pourtant c’est un élu communiste qui a mis en place le Sol Violette. Si un jour cela perce et que l’évidence de l’alternative économique que réprésente les monnaies complémentaires se retrouvent jusque dans les programmes des grands partis, ce sera grâce aux décroissants, grâce aux écologistes, grâce aux militants non-encartés qui ne cessent de pousser dans ce sens.
Vous parlez du NPA et des Alternatifs qui étaient présents à Moissac, mais moi je trouve que c’est surtout avec l’ensemble du Front de Gauche qu’il serait pertinent de dialoguer. Les OC auraient pu être depuis longtemps une composante de la FASE par exemple, aux côtés des Alternatifs justement. Je trouve que Paul Ariès et Corinne Morel-Darleux font un travail formidable au sein du Parti de Gauche. Je sais bien le rejet qui prédomine sur Bellaciao vis à vis de Mélenchon, mais le résultat c’est qu’aujourd’hui lorsque, dans un discours, il parle de réindustrialisation, d’emplois, d’économie, il se garde bien d’invoquer le retour de "la croissance" et critique sans hésitation la croissance en tant que concept économique on ne peut plus capitaliste et productiviste. D’ailleurs je vous le dis franchement, je n’ai confiance en lui que parce que je le sais entouré par des gens de confiance.
Oui les plateforme de convergences, plus il y en a mieux c’est. Des réseaux de réseaux, redes en red, comme le nom de l’initiative catalane à Ruesta, dans l’aragon, l’an dernier. Il faut mailler tous les courants, se mélanger, discuter, argumenter dans le but d’entrevoir de quelle manière, à chaque niveau, dans chaque territoire, il est le plus pertinent d’engager la sortie du capitalisme. Un des outils les plus efficaces étant pour moi les monnaies locales complémentaires qui restent malheureusement absentes dans les programmes et les discours de toute la gauche, même écologiste. A toulouse pourtant c’est un élu communiste qui a mis en place le Sol Violette. Si un jour cela perce et que l’évidence de l’alternative économique que réprésente les monnaies complémentaires se retrouvent jusque dans les programmes des grands partis, ce sera grâce aux décroissants, grâce aux écologistes, grâce aux militants non-encartés qui ne cessent de pousser dans ce sens.
Vous parlez du NPA et des Alternatifs qui étaient présents à Moissac, mais moi je trouve que c’est surtout avec l’ensemble du Front de Gauche qu’il serait pertinent de dialoguer. Les OC auraient pu être depuis longtemps une composante de la FASE par exemple, aux côtés des Alternatifs justement. Je trouve que Paul Ariès et Corinne Morel-Darleux font un travail formidable au sein du Parti de Gauche. Je sais bien le rejet qui prédomine sur Bellaciao vis à vis de Mélenchon, mais le résultat c’est qu’aujourd’hui lorsque, dans un discours, il parle de réindustrialisation, d’emplois, d’économie, il se garde bien d’invoquer le retour de "la croissance" et critique sans hésitation la croissance en tant que concept économique on ne peut plus capitaliste et productiviste. D’ailleurs je vous le dis franchement, je n’ai confiance en lui que parce que je le sais entouré par des gens de confiance.