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Michel Onfray en intellectuel de gauche papillonnant

20 octobre 2011, 12:36, par A.C

Remarque :

Que des "trotsks" amis se farcissent le pseudo philosophe girouette, on m’excusera : je me gondole !

Onfray mieux , (fastoche..) quand on veut faire du "Nouveau" depas trop bander quand un type comme ça se met à vous peloter, comme ce fut le cas en 2007..après avoir fellationné Bové !

Maintenant, Onfray , il se positionne pour qu’une tribune du Monde , fasse qu’il soit invité sur un plateau de téloche !

Onfray c’est le Coubertin de la gôôche de Gôôche :

y a du cinéma politicard ?

Deux douzaines devneurones petit-bourges sont en partouze dite d’élites ?

"L’essentiel est de participer"et il rat-plique

En juillet cette pauvre journaleuse del’huma avait pris son panard en réalisant ce scoop..

 ;

Pourquoi soutenez-vous le Front de gauche
 ?

Michel Onfray
.

Je suis constant dans mon choix : je soutiens la gauche antilibérale qui est la plus unitaire possible. Certains estiment que j’ai changé d’avis, or j’ai toujours défendu celui qui, dans ce courant, œuvre dans ce sens. Cela fait longtemps que je demande qu’on se parle, qu’on s’entende. Il y a plein de personnes qui n’attentent que cette union. Et, avec le Front de gauche, elle existe.


A la présidentielle de 2007, vous aviez voté pour Olivier Besancenot en justifiant que « la gauche doit être de gauche ». Pourquoi ne pas renouveler votre soutien aujourd’hui au NPA ?

Michel Onfray.

Je suis pragmatique. Je vois qui propose et réalise l’union. C’est honorable que Buffet, Mélenchon et Picquet l’ait fait. Besancenot la refuse clairement. De même que Lutte ouvrière. Il est clair que je ne donne pas ma voix à des candidats qui fractionnent et ne font pas d’efforts pour l’union. Des différences existent dans la gauche antilibérale, et tant mieux, mais on devrait tabler sur ce qui nous réunit. D’autant qu’il y a en face Nicolas Sarkozy qui risque de se maintenir lors du prochain mandat et que, comme seul recours aujourd’hui, il y a Ségolène Royal ou Dominique Strauss-Kahn. Si dans cette configuration la gauche antilibérale n’est pas capable de comprendre qu’elle tient dans ses mains une carte formidable pour dépasser le Parti socialiste, c’est désespérant. Il y a une vie après le mégaphone, ce n’est pas suffisant d’être dans la revendication, comme le fait le NPA. Ce qui m’intéresse, dans le PC, c’est sa capacité de gérer les villes, les villages. Il faut avoir une vraie alternative dans tous les domaines de la vie.


Vous estimez que le Front de gauche est un pas vers une construction plus durable ?

Michel Onfray

.

J’aimerais bien que ce soit l’occasion de commencer à cristalliser quelque chose, de ramener les déçus et les perdus vers cette force qui gagnerait à être trans-partis. On peut garder son identité de parti (je pense au PC ou au PG), tout en ayant une stratégie d’alliance, et, éventuellement, un programme commun de la gauche antilibérale. Si dimanche prochain le Front de gauche passe devant le NPA ce sera une bonne leçon.Dans une interview donné à l’Humanité, Michel Onfray revient sur le sens de son soutien au Front de gauche.

« Je vois qui propose et réalise l’union »

Pourquoi soutenez-vous le Front de gauche ?

Michel Onfray.

Je suis constant dans mon choix

 : je soutiens la gauche antilibérale qui est la plus unitaire possible. Certains estiment que j’ai changé d’avis, or j’ai toujours défendu celui qui, dans ce courant, œuvre dans ce sens. Cela fait longtemps que je demande qu’on se parle, qu’on s’entende. Il y a plein de personnes qui n’attentent que cette union. Et, avec le Front de gauche, elle existe.


A la présidentielle de 2007, vous aviez voté pour Olivier Besancenot en justifiant que « la gauche doit être de gauche ». Pourquoi ne pas renouveler votre soutien aujourd’hui au NPA ?

Michel Onfray.

Je suis pragmatique. Je vois qui propose et réalise l’union. C’est honorable que Buffet, Mélenchon et Picquet l’ait fait. Besancenot la refuse clairement. De même que Lutte ouvrière.

Il est clair que je ne donne pas ma voix à des candidats qui fractionnent et ne font pas d’efforts pour l’union. Des différences existent dans la gauche antilibérale, et tant mieux, mais on devrait tabler sur ce qui nous réunit. D’autant qu’il y a en face Nicolas Sarkozy qui risque de se maintenir lors du prochain mandat et que, comme seul recours aujourd’hui, il y a Ségolène Royal ou Dominique Strauss-Kahn.

Si dans cette configuration la gauche antilibérale n’est pas capable de comprendre qu’elle tient dans ses mains une carte formidable pour dépasser le Parti socialiste, c’est désespérant. Il y a une vie après le mégaphone, ce n’est pas suffisant d’être dans la revendication, comme le fait le NPA. Ce qui m’intéresse, dans le PC, c’est sa capacité de gérer les villes, les villages. Il faut avoir une vraie alternative dans tous les domaines de la vie.

Vous estimez que le Front de gauche est un pas vers une construction plus durable ?

Michel Onfray. J’aimerais bien que ce soit l’occasion de commencer à cristalliser quelque chose, de ramener les déçus et les perdus vers cette force qui gagnerait à être trans-partis. On peut garder son identité de parti (je pense au PC ou au PG), tout en ayant une stratégie d’alliance, et, éventuellement, un programme commun de la gauche antilibérale. Si dimanche prochain le Front de gauche passe devant le NPA ce sera une bonne leçon.

Entretien réalisé par Mina Kaci

ONFRAY, c’est un peu comme certains artistesmilliardaires de lababalle.

Il jouent trois saisons à Milan, puis on les retrouve à Manchester , et en pourparlers trois ans après pour le REAL MADRID..

Il sont fidèles à leur engagement : Notoriété et POGNON.
Et sans varier d’un chouîa :

Maillot, souliers à crampons, boites branchées.

Onfray, moi j’adore..

Puisqu’il m’amuse.

A.C

Puisque certains ,voient nt dans cette marionnette de la constance pragmatique, unitaire etc etc..juste ceci pour rafraichir la mémoire :

 Quand ce mickey avant d’aller brouter son herbe au NPA soutenait Bové .voilà comment il avait réglé son compte è ses ex compagnons de déroute du PC.
Il répondait avec cette chaleureuse camaraderie qu’on remarquera à un communiste , ceci

(extrait)

http://www.gauchemip.org/spip.php?article2202

Le PCF n’a pas trahi les ouvriers, cher Maurice, quand il a vendu son âme pour une assiette de lentilles, plusieurs fois depuis Mai 81, en acceptant des strapontins de ministres dans des gouvernements qui, se disant de gauche, menaient une politique de droite, dont certains nationalisaient plus que le gouvernement Balladur. Un pied revendicatif dans l’usine, un autre dans les palais dorés des ministères, une parole à gauche, une pratique de collaboration avec le libéralisme, des banderoles entre Nation et République, des cocktails chics à Matignon et des électeurs, pas dupes, qui quittent le parti et s’en vont, pour certains, vers le Front National...

Le PCF n’a pas trahi les ouvriers, cher Maurice, en prétendant pendant des mois aspirer à une candidature unique de la gauche antilibérale, certes, bien sûr, évidemment, mais pourvu qu’elle se fasse sous le nom de Marie Georges Buffet, et sous le logo du Parti Communiste Français, non sans avoir sollicité les militants en amont pour noyauter, vieilles habitudes, les comités antilibéraux partout où c’était possible afin de laisser croire à une réelle et naturelle présence de leur première secrétaire artificiellement plébiscitée.

Le PCF n’a pas trahi les ouvriers, cher Maurice, lors des négociations avec le Parti Socialiste pour conserver après les présidentielles les prébendes électorales - des municipales aux législatives, en passant par les sénatoriales et autres consultations cantonales, départementales et régionales- obtenues avec la complicité d’un PS qui assure, par le choix de ses candidats et ses alliances, la réélection des permanents du Parti, des salariés de la bureaucratie, pourvu que la parole de gauche pendant la campagne n’empêche pas ensuite une pratique gouvernementale commune.

Mon cher Maurice, je crains que votre dévotion au Parti - comme d’autres dévots sacrifient à Bernadette Soubirous- vous empêche de faire de l’histoire, notamment celle de votre Eglise , car vous auriez vu que le Parti Communiste Français, qui a commencé par revendiquer et s’approprier tous les fusillés et la plupart des résistants français alors qu’il collaborait avec le régime nazi, puis continué à se dire révolutionnaire pendant qu’il participait au gouvernement d’un Lionel Jospin qui affirmait que son projet présidentiel ne serait pas socialiste, ce Parti, donc, a fourni en couleuvres pendant un demi siècles la classe ouvrière qui mendie aujourd’hui, et pour cause, un peu des miettes du festin de Jean-Marie Le Pen... Le score de ce dernier, le PCF est en un peu responsable, malheureusement

.

Juste pour ce papier, ONFRAY c’est pour moi un tas de Merde..
On admirera la dénonciation des collaborations PC-PS et ce que je cite plus haut de cepantin !

ce n’est pas suffisant d’être dans la revendication, comme le fait le NPA. Ce qui m’intéresse, dans le PC, c’est sa capacité de gérer les villes, les villages.

Philosophe, ça ?

Alors je suis papiste ...

A.C