On couche dans la rue, on enfante dans la rue, on meurt dans la rue
2 novembre 2011, 09:35, par Nicolas
Je suis scandalisé, horrifié, révolté : en plein Paris, en ce XXIº siècle, après presque 50 ans de paix, dans un pays riche, sans cataclysmes naturels, avec une population éduquée, etc. des dizaines de milliers de familles n’ont pas de logement décent, des milliers dorment dans la rue et y meurent y compris un bébé, la créature la plus innocente du monde. Quelle plus violente et définitive condamnation de ce système social et économique nommé capitalisme, incapable d’assurer des conditions de vie, un toit, un travail à tous pendant qu’une minorité de parasites se gavent ? Et l’Eglise condamne l’avortement, mais tolère ce régime, le défend et le soutient partout où elle est puissante. Quelle honte ! quelle hypocrisie !
Je suis scandalisé, horrifié, révolté : en plein Paris, en ce XXIº siècle, après presque 50 ans de paix, dans un pays riche, sans cataclysmes naturels, avec une population éduquée, etc. des dizaines de milliers de familles n’ont pas de logement décent, des milliers dorment dans la rue et y meurent y compris un bébé, la créature la plus innocente du monde. Quelle plus violente et définitive condamnation de ce système social et économique nommé capitalisme, incapable d’assurer des conditions de vie, un toit, un travail à tous pendant qu’une minorité de parasites se gavent ? Et l’Eglise condamne l’avortement, mais tolère ce régime, le défend et le soutient partout où elle est puissante. Quelle honte ! quelle hypocrisie !