Bon, je comprends parfaitement ta démarche Elodie dans cette liste qui montre combien l’apport culturel, pour tout pays, son enrichissement, ce qui lui redonne vitalité, du fait même des mécanismes de conformismes assurant la stabilité et la cohésion de tout groupe culturel, national, régional, c’est l’apport des "venus d’ailleurs".
Seulement voilà : en jouant à répondre aux tenants des sectarismes sur leur terrain en leur montrant que la richesse culturelle d’un pays dépend énormément de sa capacité à se nourrir de l’étranger, on joue leur jeu en donnant de l’importance au concept de limite définisssant l’ensemble autant qu’au concept d’ensemble réuni par propriété de conformisme commun.
et définir une société sur ça, ben ça va pas du tout
moi ce qui m’a tout de suite touché dans le marxisme, c’est que la société est définie en terme d’activités interdépendantes et dans l’optique de l’intérêt général "ruisselant" sur l’intérêt commun puis individuel sur des besoins fondamentaux qui sont d’abord ceux de la solidarité permettant l’interdépendance.
et c’est sur ce genre de réponse que j’ai été ému par Philippe Poutou quand il dit et affirme à maintes reprises que l’immigration n’est pas un problème ainsi que l’insécurité. mais que le problème, c’est la misère générée par le capitalisme, l’esprit d’appropriéation, la volonté de puissance d’une minorité faisant rêver, fascinant, les masses en leur faisant croire que tout un chacun peut devenir dominant, faire partie de la caste des possédants... etc... je traduis avec mes termes.
Faut marteler ce sur quoi on fonde notre projet de société et non plus se laisser embarquer dans des débats immondes sur les nationalismes.
Nous sommes tous des humains et avons besoin les uns des autres pour vivre, et pas d’une identité nationale pour écraser autrui qui peut être soi écrasé par un autre.
Bon, je comprends parfaitement ta démarche Elodie dans cette liste qui montre combien l’apport culturel, pour tout pays, son enrichissement, ce qui lui redonne vitalité, du fait même des mécanismes de conformismes assurant la stabilité et la cohésion de tout groupe culturel, national, régional, c’est l’apport des "venus d’ailleurs".
Seulement voilà : en jouant à répondre aux tenants des sectarismes sur leur terrain en leur montrant que la richesse culturelle d’un pays dépend énormément de sa capacité à se nourrir de l’étranger, on joue leur jeu en donnant de l’importance au concept de limite définisssant l’ensemble autant qu’au concept d’ensemble réuni par propriété de conformisme commun.
et définir une société sur ça, ben ça va pas du tout
moi ce qui m’a tout de suite touché dans le marxisme, c’est que la société est définie en terme d’activités interdépendantes et dans l’optique de l’intérêt général "ruisselant" sur l’intérêt commun puis individuel sur des besoins fondamentaux qui sont d’abord ceux de la solidarité permettant l’interdépendance.
et c’est sur ce genre de réponse que j’ai été ému par Philippe Poutou quand il dit et affirme à maintes reprises que l’immigration n’est pas un problème ainsi que l’insécurité. mais que le problème, c’est la misère générée par le capitalisme, l’esprit d’appropriéation, la volonté de puissance d’une minorité faisant rêver, fascinant, les masses en leur faisant croire que tout un chacun peut devenir dominant, faire partie de la caste des possédants... etc... je traduis avec mes termes.
Faut marteler ce sur quoi on fonde notre projet de société et non plus se laisser embarquer dans des débats immondes sur les nationalismes.
Nous sommes tous des humains et avons besoin les uns des autres pour vivre, et pas d’une identité nationale pour écraser autrui qui peut être soi écrasé par un autre.
ça suffit tout ça.