Communiqué suite à la demande de soutien de M. Wamen, candidat communiste.
28 mai 2012, 10:18, par Cops
C’est une bonne chose que de présenter un militant ouvrier.
L’effet Poutoux est une bonne chose.
Plus il y aura de militants ouvriers sur des batailles symboliques (les élections) , comme sur les questions importantes (virer les apparatchiks, les remplacer par des ouvriers, dans les partis, etc), mieux cela sera.
Oui, il est important que les exploités prennent en main leurs destinées, que ce soit en termes de combats collectifs, comme en termes de représentation.
On se goberge, à juste titre, qu’il doit y avoir un effort pour que les femmes soient aussi représentées à parts égales, dans les partis, les syndicats, les élections, etc.
Qu’en est-il alors pour des partis mettant la classe ouvrière au centre du changement de monde, cette classe qui fait au sens large une énorme proportion de la société et qui n’a plus de représentation politique ?
Même du point de vue des symboles il y a soucis.
L’appartenance à une classe ne fait pas le programme, mais le programme exige qu’une classe vienne de plus en plus sur le devant, apprenne, prenne pouvoir, fasse apprentissage (pour le jour où elle prendra tout de ce qui appartient à la bourgeoisie), et cela ne relève pas seulement d’une attitude théorique, mais de travaux pratiques.
Par contre sur les batailles internes au PCF, ça fait un moment que ça crise à Amiens.
Cela ne relève pas d’un problème interne, car la question est publique et le sort des travailleurs et de la classe populaire est agressé par le PS et une faction du PC, un PC-FdG roulant des patins au PS, votant des saloperies anti-sociales et des confiseries à la bourgeoisie.
La ligne de feu publique passe donc aussi dans le PC d’Amiens et je ne saurai trop dire à ses camarades qu’on les regarde, que la question n’est pas de sauver le PCF, salauds inclus, mais d’être dans un camps, celui de la classe populaire.
Le parti a préserver est celui des travailleurs, et ça ne concerne que par un tout petit aspect la survie du parti nommé PCF.
Dehors !
A coups de pied dans le derche les anti-sociaux et pro-subventions/confiseries à la bourgeoisie !
Si vous n’avez pas la majorité, ou si vous l’avez, vous ne pouvez faire partie d’un même parti avec ces individus .
Il y a un fossé qui ne ressort pas de divergences dans un même parti pour changer la société .
Vous n’êtes pas seuls, il y a d’autres forces (petites) organisées ou pas qui font ce parti de la classe populaire. Elles ne sont pas dans le PCF. Sachez reconnaitre vos ennemis et vos amis.
C’est une bonne chose que de présenter un militant ouvrier.
L’effet Poutoux est une bonne chose.
Plus il y aura de militants ouvriers sur des batailles symboliques (les élections) , comme sur les questions importantes (virer les apparatchiks, les remplacer par des ouvriers, dans les partis, etc), mieux cela sera.
Oui, il est important que les exploités prennent en main leurs destinées, que ce soit en termes de combats collectifs, comme en termes de représentation.
On se goberge, à juste titre, qu’il doit y avoir un effort pour que les femmes soient aussi représentées à parts égales, dans les partis, les syndicats, les élections, etc.
Qu’en est-il alors pour des partis mettant la classe ouvrière au centre du changement de monde, cette classe qui fait au sens large une énorme proportion de la société et qui n’a plus de représentation politique ?
Même du point de vue des symboles il y a soucis.
L’appartenance à une classe ne fait pas le programme, mais le programme exige qu’une classe vienne de plus en plus sur le devant, apprenne, prenne pouvoir, fasse apprentissage (pour le jour où elle prendra tout de ce qui appartient à la bourgeoisie), et cela ne relève pas seulement d’une attitude théorique, mais de travaux pratiques.
Par contre sur les batailles internes au PCF, ça fait un moment que ça crise à Amiens.
Cela ne relève pas d’un problème interne, car la question est publique et le sort des travailleurs et de la classe populaire est agressé par le PS et une faction du PC, un PC-FdG roulant des patins au PS, votant des saloperies anti-sociales et des confiseries à la bourgeoisie.
La ligne de feu publique passe donc aussi dans le PC d’Amiens et je ne saurai trop dire à ses camarades qu’on les regarde, que la question n’est pas de sauver le PCF, salauds inclus, mais d’être dans un camps, celui de la classe populaire.
Le parti a préserver est celui des travailleurs, et ça ne concerne que par un tout petit aspect la survie du parti nommé PCF.
Dehors !
A coups de pied dans le derche les anti-sociaux et pro-subventions/confiseries à la bourgeoisie !
Si vous n’avez pas la majorité, ou si vous l’avez, vous ne pouvez faire partie d’un même parti avec ces individus .
Il y a un fossé qui ne ressort pas de divergences dans un même parti pour changer la société .
Vous n’êtes pas seuls, il y a d’autres forces (petites) organisées ou pas qui font ce parti de la classe populaire. Elles ne sont pas dans le PCF. Sachez reconnaitre vos ennemis et vos amis.