> Les quartiers minorisés de Paris et le « non de gauche » au traité constitutionnel européen
4 mai 2005, 11:58
Oh la la, quelle ironie, pourquoi tant de mépris envers les régions, et tant d’esprit de clocher du haut de ta Tour Eiffel ?
Eh bien, un "Non de gauche breton" (et un Oui de gauche breton qui se trompe) c’est quand des citoyens, quelle que soit leur origine, qui vivent dans un endroit nommé la Bretagne, se demandent, tout comme les citoyens des Batignolles, si ce Traite apportera plus d’Europe sociale et plus d’Europe democratique.
Et puis, quand il se demandent aussi (ce qui par contre echappe legitimement aux citoyens du 17eme) si ce Traite permettra plus de solidarite entre les territoires, plus d’egalite entre les regions riches et les regions pauvres, plus de moyens de developpement durable, moins de desertification rurale, plus d’ouverture sur le monde pour nos regions maritimes ou frontalieres, plus de reconnaissance des langues et cultures regionales, etc...
Tous les citoyens du pays ne vivent pas dans le meme contexte, et donc peuvent parfois oser des question un peu differentes. L’existence determine la conscience (comme disait un vieux barbu) on peut donc etre egaux sans etre identiques non ?
Alors, evitons surtout le mepris et la "plouc"-isation reciproque, qui n’a que trop divise face à nos ennemis communs.
Oh la la, quelle ironie, pourquoi tant de mépris envers les régions, et tant d’esprit de clocher du haut de ta Tour Eiffel ?
Eh bien, un "Non de gauche breton" (et un Oui de gauche breton qui se trompe) c’est quand des citoyens, quelle que soit leur origine, qui vivent dans un endroit nommé la Bretagne, se demandent, tout comme les citoyens des Batignolles, si ce Traite apportera plus d’Europe sociale et plus d’Europe democratique.
Et puis, quand il se demandent aussi (ce qui par contre echappe legitimement aux citoyens du 17eme) si ce Traite permettra plus de solidarite entre les territoires, plus d’egalite entre les regions riches et les regions pauvres, plus de moyens de developpement durable, moins de desertification rurale, plus d’ouverture sur le monde pour nos regions maritimes ou frontalieres, plus de reconnaissance des langues et cultures regionales, etc...
Tous les citoyens du pays ne vivent pas dans le meme contexte, et donc peuvent parfois oser des question un peu differentes. L’existence determine la conscience (comme disait un vieux barbu) on peut donc etre egaux sans etre identiques non ?
Alors, evitons surtout le mepris et la "plouc"-isation reciproque, qui n’a que trop divise face à nos ennemis communs.
cordialement,
Patrice M.