Accueil > ... > Forum 519183

Hollande-Valls et le PS vont-ils aggraver la crise sociale et nationale ?

21 août 2014, 18:06

La monnaie est une arme économique fondamentale pour assurer l’indépendance de la France et son développement productif dans l’industrie et l’agriculture .Bien sûr à condition que le pouvoir populaire soit aux affaires et qu’il trouve les forces suffisantes pour contrer la bourgeoisie financière en autogérant les établissements financiers et les banques avec les salariés et les économistes d’accord avec son projet national . La monnaie gérée par la banque de France et ses salariés peut permettre des investissements tout azimut dans le logement et tout le système productif conforme aux besoins des populations . La monnaie peut très bien se passer de l’économie de marché capitaliste qui la dévalue constamment par ses spéculations permanentes . La monnaie doit être un outil sanguin qui irrigue tout le corps social dans toutes ses activités . L’autogestion des entreprises publics et privés n’aura plus à se préoccuper de l’actionnaire et du salaire patronal abusif et ainsi la monnaie sera utile à tous pour les échanges commerciaux au juste prix en attendant la gratuité future de la société communiste en construction . La suppression de la monnaie dans le temps peut être un objectif pour les générations futures capables de s’en passer . Le troc n’est pas mort malgré sa désuétude organisée par le capital et il faudra le réhabiliter pour certaines catégories de produits . La nouvelle société à inventer devrait martyriser nos cerveaux dans la prochaine période historique où le capitalisme se meurt malgré les efforts de ses serviteurs incapables de le sauver .

Le Franc reste notre monnaie nationale et il faut donc le remettre dans nos poches à la place du Mark-Euro qui nous appauvrit et qui casse toutes nos entreprises . On ne doit dépendre de personne , encore moins de l’allemagne qui s’enrichit sur notre dos.

Les énarques au pouvoir pour gérer le capitalisme apatride doivent être sorti du jeu au plus vite par une révolution populaire à venir qu’il nous faut déclencher à un moment ou un autre du temps qui vient .

Bernard SARTON