je respecte ton analyse , mais elle ne repose pas sur des faits mais sur tes propres sentiments , or les faits sont têtus :
pas de parti révolutionnaire avec des propositions pour donner le pouvoir au peuple
une classe ouvrière qui avait "seulement" pour objectif d’ améliorer son quotidien et pas de changer la société
des syndicats divisés
des gaullistes bien organisés et unis par une même idéologie et qui avait reçu le soutien de l’ armée
une paysannerie encore importante , totalement opposée à un changement politique
une base électorale largement à l avantage de la droite
alors faire la révolution OUI , mais avec qui , avec quelles forces organisées , pour quels objectifs ?
Le problème n est donc pas de savoir quand le peuple est prêt , et encore moins de le décréter à sa place, mais de construire le parti révolutionnaire et le rapport de force sinon il n y aura même pas lieu de se poser la question de savoir si nous avons le "choix" entre socialisme et barbarie car se sera la barbarie assurée .
je respecte ton analyse , mais elle ne repose pas sur des faits mais sur tes propres sentiments , or les faits sont têtus :
pas de parti révolutionnaire avec des propositions pour donner le pouvoir au peuple
une classe ouvrière qui avait "seulement" pour objectif d’ améliorer son quotidien et pas de changer la société
des syndicats divisés
des gaullistes bien organisés et unis par une même idéologie et qui avait reçu le soutien de l’ armée
une paysannerie encore importante , totalement opposée à un changement politique
une base électorale largement à l avantage de la droite
alors faire la révolution OUI , mais avec qui , avec quelles forces organisées , pour quels objectifs ?
Le problème n est donc pas de savoir quand le peuple est prêt , et encore moins de le décréter à sa place, mais de construire le parti révolutionnaire et le rapport de force sinon il n y aura même pas lieu de se poser la question de savoir si nous avons le "choix" entre socialisme et barbarie car se sera la barbarie assurée .