Nos gros patrons doivent surement souffrir beaucoup,
Ils parlent de souffrance par tactique, par communication. En fait ils jouent simplement leur partition dans la lutte des classes. Le camp d’en face, le mouvement ouvrier, est au fond du trou, donc ils en profitent, occupent le terrain et cherchent à engranger le maximum d’avantages.
Le problème, ce n’est pas l’attitude des patrons (les bons et les mauvais patrons... auxquels il faudrait retirer la nationalité française, comme dit B Sarton !), c’est l’absence de voix (et de voie !) d’un camp progressiste qui est à reconstruire.
Ils parlent de souffrance par tactique, par communication. En fait ils jouent simplement leur partition dans la lutte des classes. Le camp d’en face, le mouvement ouvrier, est au fond du trou, donc ils en profitent, occupent le terrain et cherchent à engranger le maximum d’avantages.
Le problème, ce n’est pas l’attitude des patrons (les bons et les mauvais patrons... auxquels il faudrait retirer la nationalité française, comme dit B Sarton !), c’est l’absence de voix (et de voie !) d’un camp progressiste qui est à reconstruire.