Le problème, c’est ce syndicalisme de permanents contents d’être à la même table que les patrons, de serrer la pince au président le premier de l’an, ce syndicalisme de fluidification du dialogue social entre "partenaires" sociaux.
Pourquoi, alors que le gouvernement n’a jamais été aussi impopulaire, la CGT n’organise-t-elle pas la grève générale ?
Tout est à reconstruire, il faut un syndicalisme révolutionnaire.
Le problème, c’est ce syndicalisme de permanents contents d’être à la même table que les patrons, de serrer la pince au président le premier de l’an, ce syndicalisme de fluidification du dialogue social entre "partenaires" sociaux.
Pourquoi, alors que le gouvernement n’a jamais été aussi impopulaire, la CGT n’organise-t-elle pas la grève générale ?
Tout est à reconstruire, il faut un syndicalisme révolutionnaire.