« Cependant, il nous semble que l’argument d’un regain des luttes face à un gouvernement Syriza est avancé souvent de façon unilatérale. En effet, les défenseurs de cette hypothèse en général négligent le fait que l’échec d’un gouvernement Syriza, sur lequel les classes populaires et les masses auraient déposé leurs espoirs, pourrait, à l’inverse, provoquer une vague de désenchantement et de démoralisation. »
Vous avez raison, pour ne pas être déçus, souhaitons que la droite et l’extrême-droite l’emporte en Grèce. Au moins, on restera en terrain connu, et on pourra attendre tranquillement que la Troïka et l’lUE s’effondrent toutes seules...
« Cependant, il nous semble que l’argument d’un regain des luttes face à un gouvernement Syriza est avancé souvent de façon unilatérale. En effet, les défenseurs de cette hypothèse en général négligent le fait que l’échec d’un gouvernement Syriza, sur lequel les classes populaires et les masses auraient déposé leurs espoirs, pourrait, à l’inverse, provoquer une vague de désenchantement et de démoralisation. »
Vous avez raison, pour ne pas être déçus, souhaitons que la droite et l’extrême-droite l’emporte en Grèce. Au moins, on restera en terrain connu, et on pourra attendre tranquillement que la Troïka et l’lUE s’effondrent toutes seules...