L’INEGALITE ET L’ISLAMOPHOBIE … créent les conditions du djihadisme !
23 janvier 2015, 19:32
"...précarisation massive des classes et quartiers populaires depuis quatre décennies.".
Je dirai même bien plus que quatre décennies ; j’en viens.
Le capitalisme n’a jamais été tendre avec les exploités, quelque soit la période et l’origine des exploités.
Ce qui change c’est l’instrumentalisation du racisme pour diviser les prolétaires, quelque soit leur origine.
Seulement avant (après guerre), il existait un PCF (même réformiste) fort et implanté dans la ceinture rouge qui amenait une réponse politique mais également d’organisation sociale, laissant peu de place aux religions alors que depuis une trentaine d’années ce PCF s’est désintégré sous son propre poids de plus en plus réformiste et les assauts répétés du PS, jusqu’à ne plus être que l’ombre de lui-même.
Le problème c’est que ce vide béant a été comblé par ci par là par des religieux intégristes réactionnaires qui ont amené d’autres réponses politiques et d’autres organisations sociales qui n’ont rien à voir avec la marche au communisme.
C’est pour cela qu’au travers des propos de cette contribution, on peut dire qu’il y a une cause économique et sociale à ce qui se passe dans les banlieues doublée d’une dimension culturelle qui touche les plus fragile.
Mais tous les habitants de ces banlieues ne sont pas des intégristes ni des djihadistes.
La solution, pour nous communistes est donc de reprendre ces terrains en amenant une autre réponse politique et un autre projet d’organisation sociale de la société.
Nous sommes certains à nous y atteler ; ce n’est pas facile.
"...précarisation massive des classes et quartiers populaires depuis quatre décennies.".
Je dirai même bien plus que quatre décennies ; j’en viens.
Le capitalisme n’a jamais été tendre avec les exploités, quelque soit la période et l’origine des exploités.
Ce qui change c’est l’instrumentalisation du racisme pour diviser les prolétaires, quelque soit leur origine.
Seulement avant (après guerre), il existait un PCF (même réformiste) fort et implanté dans la ceinture rouge qui amenait une réponse politique mais également d’organisation sociale, laissant peu de place aux religions alors que depuis une trentaine d’années ce PCF s’est désintégré sous son propre poids de plus en plus réformiste et les assauts répétés du PS, jusqu’à ne plus être que l’ombre de lui-même.
Le problème c’est que ce vide béant a été comblé par ci par là par des religieux intégristes réactionnaires qui ont amené d’autres réponses politiques et d’autres organisations sociales qui n’ont rien à voir avec la marche au communisme.
C’est pour cela qu’au travers des propos de cette contribution, on peut dire qu’il y a une cause économique et sociale à ce qui se passe dans les banlieues doublée d’une dimension culturelle qui touche les plus fragile.
Mais tous les habitants de ces banlieues ne sont pas des intégristes ni des djihadistes.
La solution, pour nous communistes est donc de reprendre ces terrains en amenant une autre réponse politique et un autre projet d’organisation sociale de la société.
Nous sommes certains à nous y atteler ; ce n’est pas facile.