CGT : Philippe Martinez, déjà secrétaire général de la CGT ?
28 janvier 2015, 17:58, par Cyril LAZARO
Bonjour à tous et à toutes.
Chers camarades,
Je rentre tout juste du boulot, et j’ai suivi les débats durant la journée via mon téléphone portable (et sur mon temps de pause) avec gourmandise...
Je suis heureux de voir qu’il y a un réel débat qui touche la diffusion des informations sur la situation au sein de la CGT, et leur véracité...
Jusqu’à preuve du contraire, Lepaon a bien menti pour les travaux de son appartement, il était bien au courant, et sa compagne les supervisait.
Jusqu’à preuve du contraire, la Fédé de la Santé n’avait pas de mandat ouvert, c’est sciemment que le vote décidé démocratiquement a été bafoué.
Jusqu’à preuve du contraire, l’UD du Nord a bien voté le contraire de ce qui avait été décidé et acté par la Commission Exécutive de l’UD.
Jusqu’à preuve du contraire, la démission de Lepaon avait bien été demandé par la CEC, contrairement à l’annonce faite par le communiqué officiel.
Jusqu’à preuve du contraire, Philippe Martinez n’est pas à ce jour secrétaire général de la CGT, et sa liste ou plutôt la liste Lepaon, n’aurait jamais dû obtenir plus de 50% des voix le 13 janvier si la démocratie interne avait été respectée, ce qui aurait rendu très difficile son maintien pour proposer une nouvelle liste.
Je pourrai citer d’autres exemples, mais je laisse le débat aux camarades, car oui, il semble évident que la base ne veut pas s’en laisser conter par une propagande made in Montreuil !
En revanche, on peut souligner qu’effectivement, des efforts (modérés) ont été fait pour instaurer un peu plus de transparence avec la mise en ligne de quelques éléments sur le site confédéral. C’est une avancée certaine, mais nous sommes au troisième millénaire, et ce style d’avancée ne sera pas suffisante à l’ère d’Internet, et il est regrettable qu’en termes de transparence, la presse écrite nationale soit mieux renseignée que les syndiqués de la CGT, et pire, que le débat doive encore se développer sur la base de cette presse écrite, car aussi transparente que soit la communication du site confédéral, on y retrouve des éléments qu’après la publication dans la presse écrite.
Je suppute même que sans la presse écrite, il n’y aurait aucun débat au sein de la CGT, et donc, aucune avancée sur l’entourloupe réformiste qui a conduit à cette situation, entourloupe qui dure depuis de trop nombreuses années.
Aussi, voir des camarades militants monter au crêneau pour revendiquer leurs droits (ils sont syndiqués), ne me surprend nullement.
Courage à eux et à tous ceux qui à travers la France oeuvrent dans leurs UL, UD, Fédés, et jusqu’à la Conf elle même, pour un réel changement et un retour à un syndicalisme sans compromission, ni avec l’Europe du Capital, ni avec l’Etat, ni avec le Patronat.
Amitiés à tous et à toutes
Cyril LAZARO
Bonjour à tous et à toutes.
Chers camarades,
Je rentre tout juste du boulot, et j’ai suivi les débats durant la journée via mon téléphone portable (et sur mon temps de pause) avec gourmandise...
Je suis heureux de voir qu’il y a un réel débat qui touche la diffusion des informations sur la situation au sein de la CGT, et leur véracité...
Jusqu’à preuve du contraire, Lepaon a bien menti pour les travaux de son appartement, il était bien au courant, et sa compagne les supervisait.
Jusqu’à preuve du contraire, la Fédé de la Santé n’avait pas de mandat ouvert, c’est sciemment que le vote décidé démocratiquement a été bafoué.
Jusqu’à preuve du contraire, l’UD du Nord a bien voté le contraire de ce qui avait été décidé et acté par la Commission Exécutive de l’UD.
Jusqu’à preuve du contraire, la démission de Lepaon avait bien été demandé par la CEC, contrairement à l’annonce faite par le communiqué officiel.
Jusqu’à preuve du contraire, Philippe Martinez n’est pas à ce jour secrétaire général de la CGT, et sa liste ou plutôt la liste Lepaon, n’aurait jamais dû obtenir plus de 50% des voix le 13 janvier si la démocratie interne avait été respectée, ce qui aurait rendu très difficile son maintien pour proposer une nouvelle liste.
Je pourrai citer d’autres exemples, mais je laisse le débat aux camarades, car oui, il semble évident que la base ne veut pas s’en laisser conter par une propagande made in Montreuil !
En revanche, on peut souligner qu’effectivement, des efforts (modérés) ont été fait pour instaurer un peu plus de transparence avec la mise en ligne de quelques éléments sur le site confédéral. C’est une avancée certaine, mais nous sommes au troisième millénaire, et ce style d’avancée ne sera pas suffisante à l’ère d’Internet, et il est regrettable qu’en termes de transparence, la presse écrite nationale soit mieux renseignée que les syndiqués de la CGT, et pire, que le débat doive encore se développer sur la base de cette presse écrite, car aussi transparente que soit la communication du site confédéral, on y retrouve des éléments qu’après la publication dans la presse écrite.
Je suppute même que sans la presse écrite, il n’y aurait aucun débat au sein de la CGT, et donc, aucune avancée sur l’entourloupe réformiste qui a conduit à cette situation, entourloupe qui dure depuis de trop nombreuses années.
Aussi, voir des camarades militants monter au crêneau pour revendiquer leurs droits (ils sont syndiqués), ne me surprend nullement.
Courage à eux et à tous ceux qui à travers la France oeuvrent dans leurs UL, UD, Fédés, et jusqu’à la Conf elle même, pour un réel changement et un retour à un syndicalisme sans compromission, ni avec l’Europe du Capital, ni avec l’Etat, ni avec le Patronat.
Amitiés à tous et à toutes
Cyril LAZARO