Émission spéciale : ceux qui arment les esprits ! La , Juan Branco et la reponse de Alexis Corbière (video)
10 avril 2019, 11:47, par Jean PRADIER dit jean 1
Et oui, les syndicats dans la mesure où ils revendiquent par la négociation ont besoin du patronat ou de l’état pour obtenir quelques subsides ou pas.
En 68 le cas est flagrant ; les accords de grenelle négociés par les syndicats n’ont pas été à la hauteur de l’action. le soldat "capitaliste" était sauvé à la grande satisfaction de l’état et de la bourgeoisie qui était prêts à donner beaucoup plus ou à dégager (se souvenir des ministères qui commençaient à déménager ).
En l’absence de parti révolutionnaire les ouvriers avaient à portée de mains la casse du système capitaliste par la grève générale.
Quelle horreur, vite, vite on rentre dans les usines dirent les syndicats comme en 36, vite, vite on vote dirent les partis politiques.
L’expression "élection piège à cons" prit alors tout son sens.
Et depuis de négociations en négociations la régression sociale s’amplifie avec un état toujours plus ultra libéral au service du grand capital.
Ce capitalisme, par lobbying, par corruption....gangrène toutes les strates de la société jusque dans les branches de la CGT.
Vite la grève générale expropriatrice. Vite la révolution sociale et libertaire.
Vite l’anarchie le plus haut degré de l’ordre ( Elysée Reclus )
Et oui, les syndicats dans la mesure où ils revendiquent par la négociation ont besoin du patronat ou de l’état pour obtenir quelques subsides ou pas.
En 68 le cas est flagrant ; les accords de grenelle négociés par les syndicats n’ont pas été à la hauteur de l’action. le soldat "capitaliste" était sauvé à la grande satisfaction de l’état et de la bourgeoisie qui était prêts à donner beaucoup plus ou à dégager (se souvenir des ministères qui commençaient à déménager ).
En l’absence de parti révolutionnaire les ouvriers avaient à portée de mains la casse du système capitaliste par la grève générale.
Quelle horreur, vite, vite on rentre dans les usines dirent les syndicats comme en 36, vite, vite on vote dirent les partis politiques.
L’expression "élection piège à cons" prit alors tout son sens.
Et depuis de négociations en négociations la régression sociale s’amplifie avec un état toujours plus ultra libéral au service du grand capital.
Ce capitalisme, par lobbying, par corruption....gangrène toutes les strates de la société jusque dans les branches de la CGT.
Vite la grève générale expropriatrice. Vite la révolution sociale et libertaire.
Vite l’anarchie le plus haut degré de l’ordre ( Elysée Reclus )