Je m’efforce de ne jamais employer aucun anglicisme, et ce n’est pas pour être en accord avec une loi, mais pour échapper à la pensée dominante anglo-saxonne, qui impose ses idées par ses mots.
Le monde de l’entreprise est rempli d’anglisismes, le monde de l’éducation s’en remplit. Les mots forment les concepts. Et les monde anglo-saxon ne s’y trompe pas : "imposer" de gré ou de force ses mots, c’est à coup sur, rendre victorieux ses concepts .
C’est au Québec qu’on m’a appris que penser dans sa langue, c’est se penser soi-même, alors que penser dans la langue de l’envahisseur, c’est déjà courber l’échine.
Je m’efforce de ne jamais employer aucun anglicisme, et ce n’est pas pour être en accord avec une loi, mais pour échapper à la pensée dominante anglo-saxonne, qui impose ses idées par ses mots.
Le monde de l’entreprise est rempli d’anglisismes, le monde de l’éducation s’en remplit. Les mots forment les concepts. Et les monde anglo-saxon ne s’y trompe pas : "imposer" de gré ou de force ses mots, c’est à coup sur, rendre victorieux ses concepts .
C’est au Québec qu’on m’a appris que penser dans sa langue, c’est se penser soi-même, alors que penser dans la langue de l’envahisseur, c’est déjà courber l’échine.
Alain