Ce que j’en pense, modestement, c’est qu’il ne sert à rien de les attaquer de front. Qu’il ne sert à rien de tenter de pénétrer de force ou de nous faire admettre dans leurs forteresses. Eux et nous appartenons à des mondes différents.
Laissons-les croupir dans leur univers carcéral et aseptisé, avec leur fric et leurs paillettes. [Au fait, avez-vous jamais passé une soirée, une seule, avec eux ? Moi, oui. Je vous assurre, c’est à mourir d’ennui. Ils sont tristes et vides, vains et ridicules.]
A nous de créer notre monde parallèle en employant les forces qui sont les nôtres, même si celles-ci ne sont qu’éphémères. A nous d’inventer nos petites jubilations, nos exubérances, sans eux. Et si besoin est (c’est le cas actuellement), débrouillons-nous pour aller leur reprendre ce qu’ils nous ont confisqué.
Mais surtout, surtout, ne les laissons jamais empiéter sur nos territoires.
Le Yéti
Ce que j’en pense, modestement, c’est qu’il ne sert à rien de les attaquer de front. Qu’il ne sert à rien de tenter de pénétrer de force ou de nous faire admettre dans leurs forteresses. Eux et nous appartenons à des mondes différents.
Laissons-les croupir dans leur univers carcéral et aseptisé, avec leur fric et leurs paillettes. [Au fait, avez-vous jamais passé une soirée, une seule, avec eux ? Moi, oui. Je vous assurre, c’est à mourir d’ennui. Ils sont tristes et vides, vains et ridicules.]
A nous de créer notre monde parallèle en employant les forces qui sont les nôtres, même si celles-ci ne sont qu’éphémères. A nous d’inventer nos petites jubilations, nos exubérances, sans eux. Et si besoin est (c’est le cas actuellement), débrouillons-nous pour aller leur reprendre ce qu’ils nous ont confisqué.
Mais surtout, surtout, ne les laissons jamais empiéter sur nos territoires.
Le Yéti