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6 septembre 2006, 20:11

Je suis toujours un homme. Il m’est arrivé de défendre des femme victimes de la violence de mes "semblables". Si je militais, je laisserai volontier ma place aux femmes que je trouve généralement d’opinion plus pertinente que la mienne. D’ailleurs, je préfère débattre avec des femmes, il y a moins d’affrontement et c’est plus constructif.

J’ai lu ce que je pouvait trouver sur le web à propos de Royal et j’ai remarqué l’élipse qu’elle systématise lorsqu’elle se met à parler de la gauche.

Je suis d’accord pour trouver une majorité à gauche et un projet qui contrecarerais le projet libéral de "gauche" qui s’est installé après la fumeuse émission d’Yves Montant qui nous présentait les choses comme elle sont avec, entre autre, l’exemple de la réussite De Villiers, le Fou du Puy. La majorité des dirigeant socialiste sont encore fanatisé par cette expérience mise en place par les conseiller de Reagan. C’est le Nouvel Ordre Mondial ou rien. On a peur des pauvre et des terroristes qui déferlent sur nous, depuis que l’ennemi communiste a fait"Pchhit !"

Au regard de l’histoire, tous ceux qui ont trempé dans cette farce, on pourra les mettre sur un pied d’égalité avec les terroristes dont ils se servent pour imposer leur politique autoritaire et répréssive.
Royal, elle aussi, veut règner par la peur.

Lorsque les frontières du monde s’ouvrent, ce sont les libéraux qu’il faut traiter d’utopiste. Ce qu’ils affirment, c’est qu’ils donneront la même chance à chacun pour qu’il soit armé dans un monde de compétition.
Si on donne la même chance à trois milliard d’asiatique affamé et à soixante millions de francais repu, que se passe-t-il ?
Qu’il soit PS ou UMP, aucun n’a envie d’essayer. Les politiques de gauche arrêteront le partage au frontière du pays et les règles des libéraux ne s’appliquent qu’au monde occidental.

Sinon, ils savent que nous auront tous très mal au trou que nous avons, hommes et femmes, au bas de nos fesses.

Pourtant, il ne faut pas se leurrer, nous tendons vers un monde de partage, sans religion sociétale ni état. Mais le mieux, c’est de préparer la transition en douceur.

Royal ou Sarko, quelqu’un leur a cousu le trou de balle juste après la naissance.