24 MILLIARDS D’euros de réductions de cotisations patronales. Qui proteste ?
voilà comment il plume et mette en faillite la sécurité sociale. Ils permettent au patronat de ne plus payer sa part si bien qu’il manque des sous dans la caisse.
Ensuite,on vient nous dire qu’on se soigne trop, qu’il faut faire des sacrifices pour sauver la sécurité sociale. Que c’est un problème démographique et autre baratin grotesque. On paye plus pour être rembourser moins et ainsi on pousse ceux qui ont les moyens a prendre des assurances privées.
Si on fait le calcul, la sécurité sociale, régime paritaire,dégage un bénéfice de 14 milliards.(24 - 10).
Ce que je trouve de plus étonnant c’est que rare sont les salariés qui réalisent l’escroquerie patronale. Il faut dire que pas mal de syndicats,de partis de gauche et de mutuelle reprennent le discours culpabilisant et moralisateur et se taisent sur le cadeau de 24 milliards d’euros.
Sans parler des gestionnaires salariés de la SS. J’ai entendu une responsable CGC des caisses de retraites soutenir qu’il fallait attaquer les régimes spéciaux au nom de l’égalité vers le bas.
En définitive, à la SS, c’est les patrons qui décident ; Ils ont décidé de ne plus verser d’argent à la SS, et c’est ce qu’ils ont entamer et largement.
24 MILLIARDS D’euros de réductions de cotisations patronales. Qui proteste ?
voilà comment il plume et mette en faillite la sécurité sociale. Ils permettent au patronat de ne plus payer sa part si bien qu’il manque des sous dans la caisse.
Ensuite,on vient nous dire qu’on se soigne trop, qu’il faut faire des sacrifices pour sauver la sécurité sociale. Que c’est un problème démographique et autre baratin grotesque. On paye plus pour être rembourser moins et ainsi on pousse ceux qui ont les moyens a prendre des assurances privées.
Si on fait le calcul, la sécurité sociale, régime paritaire,dégage un bénéfice de 14 milliards.(24 - 10).
Ce que je trouve de plus étonnant c’est que rare sont les salariés qui réalisent l’escroquerie patronale. Il faut dire que pas mal de syndicats,de partis de gauche et de mutuelle reprennent le discours culpabilisant et moralisateur et se taisent sur le cadeau de 24 milliards d’euros.
Sans parler des gestionnaires salariés de la SS. J’ai entendu une responsable CGC des caisses de retraites soutenir qu’il fallait attaquer les régimes spéciaux au nom de l’égalité vers le bas.
En définitive, à la SS, c’est les patrons qui décident ; Ils ont décidé de ne plus verser d’argent à la SS, et c’est ce qu’ils ont entamer et largement.