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> Interview vidéo : Roberto Ferrario du Collectif Bellaciao en chair et en os

4 novembre 2006, 13:08

Pour ne pas risquer un éclat de soleil dans l’oeil, est une première réponse à ta question ;

la seconde, est qu’un(e) journaliste "passe-partout" doit garantir sa déontologie en étant capable de "passer partout", même là où l’on arrête, stoppe, squeeze, cogne les gens (journalistes ou pas) au faciès, selon les questions gênantes qu’ils/elles posent...

Donc, moins on est reconnu(e) mieux ça vaut, et plus on l’est parce qu’on écrit ce qu’on pense, comme on le pense, et mieux c’est.

C’est même mieux que d’avouer n’importe quoi à un lecteur de Bellaciao qui lui tomberait dessus "aimablement" en lui disant :
"Je vous ai reconnue ! Mais pourquoi ne répondez-vous jamais à mes questions, en me cachant vos yeux derrière des lunettes
noires ?"

La troisième réponse est que je mets des lunettes noires sous la lumière au néon : ça me blesse les yeux.

La quatrième serait de ne pas induire en erreur la personne interviewée en effaçant complètement son regard derrière des verres fumés, ni la troubler par des regards empathiques.

La 5°, c’est peut-être que Franca Maï est nyctalope, et qu’elle improvise un set de jazz au piano, just’après...

Mais ça, c’est pas "pro", c’est "backstage" !

Satisfait ou remboursé ?

Boudjemaa.