Parce que malgré l’indécrotable hargne des anticommunistes (ils n’aiment pas qu’on leur renvoie leur image et ils sont prêts à casser aussi le miroir), je veux montrer pour ma part que je retiens que ce qui nous unit est plus puissant encore que ce (...ux) qui nous divise.
Je trouve un peu "difficile" l’explication de Clémentine, mais je vais l’accepter pourtant (je ne souhaite pas qu’on cherche à humilier personne), pour laisser à l’alternative la chance de rester unitaire. Mais il va vraiment falloir travailler ce concept d’unité.
Il s’agit donc pour moi d’une démarche réfléchie, qui ne me libère cependant pas du souvenir des mauvais coups et défaillances qui ont agité la fin de la semaine dernière et le début de la semaine présente.
La confiance ne sera retrouvée que dans la pratique commune de l’unité d’action retrouvée.
Pour son retour, comment ne pas conclure avec François-Noël BABEUF notre communiste historique :
"Dans la société régénérée tout doit être équilibre et compensation ; rien ne doit être motif à se mettre en avant, à se faire valoir, à vouloir dominer. Il ne doit y avoir ni haut, ni bas, ni premier, ni dernier".
Equilibre.
Compensation.
Ni haut.
Ni bas.
C’est aussi ce qu’on affirmait aux premiers temps de l’AU.
C’est ce que j’aimerais (j’allais dire "je voudrais", mais on me traiterait de stalinien) retrouver.
Quant à haut ou bas, moi je me contente de participer ou d’organiser des réunions sur la stratégie et le programme, et le plus souvent à distribuer des tracts.
Si j’ai une ambition à 57 ans, c’est que l’AU gagne vraiment sa place non pas comme "gauche de la gauche" mais comme gauche, toute la gauche refondée sur l’antilibéralisme et l’anticapitalisme : ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : le parti du peuple.
AMNISTIE, MAIS PAS AMNÉSIE...
Parce que malgré l’indécrotable hargne des anticommunistes (ils n’aiment pas qu’on leur renvoie leur image et ils sont prêts à casser aussi le miroir), je veux montrer pour ma part que je retiens que ce qui nous unit est plus puissant encore que ce (...ux) qui nous divise.
Je trouve un peu "difficile" l’explication de Clémentine, mais je vais l’accepter pourtant (je ne souhaite pas qu’on cherche à humilier personne), pour laisser à l’alternative la chance de rester unitaire. Mais il va vraiment falloir travailler ce concept d’unité.
Il s’agit donc pour moi d’une démarche réfléchie, qui ne me libère cependant pas du souvenir des mauvais coups et défaillances qui ont agité la fin de la semaine dernière et le début de la semaine présente.
La confiance ne sera retrouvée que dans la pratique commune de l’unité d’action retrouvée.
Pour son retour, comment ne pas conclure avec François-Noël BABEUF notre communiste historique :
"Dans la société régénérée tout doit être équilibre et compensation ; rien ne doit être motif à se mettre en avant, à se faire valoir, à vouloir dominer. Il ne doit y avoir ni haut, ni bas, ni premier, ni dernier".
Equilibre.
Compensation.
Ni haut.
Ni bas.
C’est aussi ce qu’on affirmait aux premiers temps de l’AU.
C’est ce que j’aimerais (j’allais dire "je voudrais", mais on me traiterait de stalinien) retrouver.
Quant à haut ou bas, moi je me contente de participer ou d’organiser des réunions sur la stratégie et le programme, et le plus souvent à distribuer des tracts.
Si j’ai une ambition à 57 ans, c’est que l’AU gagne vraiment sa place non pas comme "gauche de la gauche" mais comme gauche, toute la gauche refondée sur l’antilibéralisme et l’anticapitalisme : ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : le parti du peuple.
NOSE DE CHAMPAGNE