La candidature Mélenchon, une perspective de victoire
18 décembre 2006, 15:26
Une proposition assez satisfaisante dans la pagaille actuelle. Personnellement, j’aurais préféré Salesse ou Bovet mais qu’importe, s’il s’agit de créer un front commun contre le libéralisme de droite ou de gauche. Il s’agit avant tout de stopper les querelles inutiles, les partis pris de clochers. L’urgence nous impose de dépasser nos petites opinions personnelles, ainsi que limitations égoïstes dont crève la politique partisane. Cette fois-ci, nous devons vraiment nous engager "à cette croisée des chemins" dont dépendra le sort de la France et par conséquent de l’Europe. Le parti communiste n’est pas suffisemment représentatif de cette gauche sociale et pacifiquement révolutionnaire qui s’annonce. Je ne met surtout pas en doute la sincérité et la bonne volonté des militants communistes. Mais il n’en reste pas moins que ce parti, même s’il a su se renouveller en profondeur, reste chargé historiquement d’une idéologie assez rébarbative et qui plus est, s’est accommodé des gouvernements socialistes successifs. Il nous faut nous secouer de tous nos conditionnements et préjugés avant qu’il ne soit trop tard. Mr Mélenchon a porté la contradiction au sein de son propre parti et n’a jamais baissé les bras comme l’a fait Fabius. De plus, sa candidature en tant que représentant d’une union des forces de la gauche altermondialiste n’altèrera en rien l’intégrité des groupes, collectifs et partis qui la composent. Madame MG Buffet devrait comprendre que les plus belles victoires passent par l’intérêt du plus grand nombre et que le PCF sortirait certainement grandi et régénéré si elle décidait maintenant de se désister. L’urgence de désigner un candidat capable de porter positivement le progamme anti-libéral le plus loin possible s’impose plus que jamais car, en cas d’échec, la boucle sera bouclée pour une longue, très longue période.
Une proposition assez satisfaisante dans la pagaille actuelle. Personnellement, j’aurais préféré Salesse ou Bovet mais qu’importe, s’il s’agit de créer un front commun contre le libéralisme de droite ou de gauche. Il s’agit avant tout de stopper les querelles inutiles, les partis pris de clochers. L’urgence nous impose de dépasser nos petites opinions personnelles, ainsi que limitations égoïstes dont crève la politique partisane. Cette fois-ci, nous devons vraiment nous engager "à cette croisée des chemins" dont dépendra le sort de la France et par conséquent de l’Europe. Le parti communiste n’est pas suffisemment représentatif de cette gauche sociale et pacifiquement révolutionnaire qui s’annonce. Je ne met surtout pas en doute la sincérité et la bonne volonté des militants communistes. Mais il n’en reste pas moins que ce parti, même s’il a su se renouveller en profondeur, reste chargé historiquement d’une idéologie assez rébarbative et qui plus est, s’est accommodé des gouvernements socialistes successifs. Il nous faut nous secouer de tous nos conditionnements et préjugés avant qu’il ne soit trop tard. Mr Mélenchon a porté la contradiction au sein de son propre parti et n’a jamais baissé les bras comme l’a fait Fabius. De plus, sa candidature en tant que représentant d’une union des forces de la gauche altermondialiste n’altèrera en rien l’intégrité des groupes, collectifs et partis qui la composent. Madame MG Buffet devrait comprendre que les plus belles victoires passent par l’intérêt du plus grand nombre et que le PCF sortirait certainement grandi et régénéré si elle décidait maintenant de se désister. L’urgence de désigner un candidat capable de porter positivement le progamme anti-libéral le plus loin possible s’impose plus que jamais car, en cas d’échec, la boucle sera bouclée pour une longue, très longue période.