Toujours cet éternel besoin de tenter de couper les militants communistes de leurs dirigeants et réciproquement. Comme s’il existait deux catégories de communistes : les pensants et les pas pensants.
Hé bien justement les communistes sont des êtres indépendants, libres et épanouis car avec ce que l’on prend comme coups de nos faux-frères et de nos vrais adversaires, il y a besoin d’une sacrée dose de lucidité et d’intelligence, fussent t’elles collectives pour résister ainsi depuis 1920 et ans doute depuis bien avant n’est-ce pas Gracchus ?
Onfray cogne Villiers qui va bien cogner sur qui lui passera à portée...C’est ainsi chez les sans parti, sans histoire commune, sans drames familiaux, sans attache, sans solidarité mais pas sans ambitions...pauvres errants à la recherche d’un centre de gravité et qui ne trouvent que leurs nombrilspour tourniquoter.
MGB vous l’imaginez en princesse douairière ?
Elle a cette capacité à s’enrichir au contact de l’autre au point qu’elle fait "fortune" rien qu’à écouter cette femme là, ajoutons à cela que plus la campagne avance et plus elle devient ce qui enflamme les communistes et le monde militant : un tribun et il faut remonter à Georges Marchais, sur un autre ton, pour retrouver cette force, cet élan, cette générosité.
Je suis véritablement heureux d’appartenir à ce collectif communiste. Heureux quelque soit le prix à payer face au patronat et à ses valets car c’est le prix de la liberté.
Toujours cet éternel besoin de tenter de couper les militants communistes de leurs dirigeants et réciproquement. Comme s’il existait deux catégories de communistes : les pensants et les pas pensants.
Hé bien justement les communistes sont des êtres indépendants, libres et épanouis car avec ce que l’on prend comme coups de nos faux-frères et de nos vrais adversaires, il y a besoin d’une sacrée dose de lucidité et d’intelligence, fussent t’elles collectives pour résister ainsi depuis 1920 et ans doute depuis bien avant n’est-ce pas Gracchus ?
Onfray cogne Villiers qui va bien cogner sur qui lui passera à portée...C’est ainsi chez les sans parti, sans histoire commune, sans drames familiaux, sans attache, sans solidarité mais pas sans ambitions...pauvres errants à la recherche d’un centre de gravité et qui ne trouvent que leurs nombrilspour tourniquoter.
MGB vous l’imaginez en princesse douairière ?
Elle a cette capacité à s’enrichir au contact de l’autre au point qu’elle fait "fortune" rien qu’à écouter cette femme là, ajoutons à cela que plus la campagne avance et plus elle devient ce qui enflamme les communistes et le monde militant : un tribun et il faut remonter à Georges Marchais, sur un autre ton, pour retrouver cette force, cet élan, cette générosité.
Je suis véritablement heureux d’appartenir à ce collectif communiste. Heureux quelque soit le prix à payer face au patronat et à ses valets car c’est le prix de la liberté.
Alain Girard