Le collectif BOVE de l Hérault A l oeuvre.........
22 mars 2007, 20:38
Sur l’EPR il y avait des crochets à ma connaissance lors du vote d’octobre 2006. Tout le monde parle des 125 propositions où chacun enlève les crochets à sa convenance.
Le PCF n’a pas mis de moratoire sur l’EPR mais il y a toujours le referendum sur la sortie ou non du nucléaire civil après un débat sur la politique énergétique.
Point 7 du programme de MGB
Le nucléaire et la politique énergétique font débat. Ce débat
doit être mené de manière transparente et soumis à référendum.
Je propose d’engager un grand effort de recherche
en deux directions. Premièrement, en direction de toutes les
énergies renouvelables ; deuxièmement, pour un nucléaire sécurisé
et durable. L’EPR et les générateurs de la quatrième
génération ainsi que ITER pour la fusion devront contribuer à
cet effort de recherche.
Pour ma part l’option nucléaire ouverte implique la construction de l’EPR de Flamanville pour valider le prototype sur plusieurs années avant l’éventuel renouvellement du parc. Cela coûte plus de 3 milliards d’euros pour maintenir l’option ouverte et répondre aux besoins en moyen de base.
L’Allemagne, qui sort du nucléaire, fait du gaz (gazoduc dans la mer Baltique pour éviter de passer par la Pologne, peur des coupures) et du charbon ; l’éolien est quasiment au taquet et la consommation d’électricité continue de croître.
Au Danemark, le développement de l’éolien, quasiment au taquet, n’a fait que compenser la croissance de la demande d’électricité.
Sur l’EPR il y avait des crochets à ma connaissance lors du vote d’octobre 2006. Tout le monde parle des 125 propositions où chacun enlève les crochets à sa convenance.
Le PCF n’a pas mis de moratoire sur l’EPR mais il y a toujours le referendum sur la sortie ou non du nucléaire civil après un débat sur la politique énergétique.
Point 7 du programme de MGB
Pour ma part l’option nucléaire ouverte implique la construction de l’EPR de Flamanville pour valider le prototype sur plusieurs années avant l’éventuel renouvellement du parc. Cela coûte plus de 3 milliards d’euros pour maintenir l’option ouverte et répondre aux besoins en moyen de base.
L’Allemagne, qui sort du nucléaire, fait du gaz (gazoduc dans la mer Baltique pour éviter de passer par la Pologne, peur des coupures) et du charbon ; l’éolien est quasiment au taquet et la consommation d’électricité continue de croître.
Au Danemark, le développement de l’éolien, quasiment au taquet, n’a fait que compenser la croissance de la demande d’électricité.
Claude (coco massicois)