Vidéo en ligne : Putain d’usine avec Jean-Pierre Levaray
23 mai 2007, 11:20
Quel gaspillage, des hommes d’abord, puis du matos !
Plus ça va et plus je crois au système de coopérative ouvrière, déconnectée de la haute finance.
Faudrait avoir le courage de recréer à côté, en parallèle, une autre société avec une économie sociale et se tenir à l’écart de la bourse.
Il y a aussi le boycott qui est une arme, que je crois efficace, mais personne ne semble intéressé pour le moment, alors que ça ferait bouger, courber l’échine à la finance.
Je serais assez favorable à la constitution de "collectifs antilibéraux" par villes, par département, entre gens qui se connaissent pour empêcher les infiltrations foireuses, et agir activement par des mots d’ordre tout simples, comme le boycott d’un produit qui vient d’une usine délocalisée, ayant mis sur la paille nos concitoyens. C’est aussi boycotter la banque, un certain jour choisi ensemble pour être efficace. Nous avons tout un arsenal à notre disposition, alors organisons-nous.
Voilà comment je vois la résistance au libéralisme, en se regroupant pour des "actions chocs". C’est ça aussi la dignité, réagir et se faire respecter. C’est pas parce qu’on n’a pas des millions ou des milliards dans le compte en banque, qu’il faut nous manquer de respect.
Quel gaspillage, des hommes d’abord, puis du matos !
Plus ça va et plus je crois au système de coopérative ouvrière, déconnectée de la haute finance.
Faudrait avoir le courage de recréer à côté, en parallèle, une autre société avec une économie sociale et se tenir à l’écart de la bourse.
Il y a aussi le boycott qui est une arme, que je crois efficace, mais personne ne semble intéressé pour le moment, alors que ça ferait bouger, courber l’échine à la finance.
Je serais assez favorable à la constitution de "collectifs antilibéraux" par villes, par département, entre gens qui se connaissent pour empêcher les infiltrations foireuses, et agir activement par des mots d’ordre tout simples, comme le boycott d’un produit qui vient d’une usine délocalisée, ayant mis sur la paille nos concitoyens. C’est aussi boycotter la banque, un certain jour choisi ensemble pour être efficace. Nous avons tout un arsenal à notre disposition, alors organisons-nous.
Voilà comment je vois la résistance au libéralisme, en se regroupant pour des "actions chocs". C’est ça aussi la dignité, réagir et se faire respecter. C’est pas parce qu’on n’a pas des millions ou des milliards dans le compte en banque, qu’il faut nous manquer de respect.
Alors, quand vous voulez. j