DEMOCRATIE, CAPITALISME, SOCIETE DE CONSOMMATION ET COMMUNISME
27 juin 2007, 14:49
Bonjour Copas
Et d’abord ,merc i de m’avoir lue et surtout merci de prendre la peine ,comme d’habitude, de critiquer ce que j’avance.
C’est le seul intérêt pour moi, cette critique permanente, y compris lorsqu’elle peut être dure (sinon je me mets devant mon miroir et je me dis "tu es trop ffffooooorrrtte, tu as tttooouuuuuttt compris" et c’est bon ;-))
Je suis assez d’accord ( mais pas complètement) avec ton analyse marxiste (évidemment ;-)) de la déviation staliniste.
Pourtant, mais c’est un truc qui me chiffone généralement chez Marx, même si je ne le connais qu’imparfaitement, ce qui me dérange donc, c’est l’absence ou l’insuffisance de "liens" dans sa problématisation générale des classes, avec la notion d’individu (comme support vivant de l’idée même de classe) et celle de chef en particulier - peut être peux tu m’éclairer sur ce point précis ( ou un-e- autre camarade).
"Changer le monde, pour être plus libres, c’est souvent au final tricher et créer de nouvelles règles du jeu, irrespectueuses, qui partent toujours du contrôle serré et permanent de ce qu’on délègue."
Je suis on ne peut plus d’accord avec toi. Mais comment nous assurer de vouloir vraiment rompre avec cette tendance manifestement inhérente à la "nature humaine" ?...
Bonjour Copas
Et d’abord ,merc i de m’avoir lue et surtout merci de prendre la peine ,comme d’habitude, de critiquer ce que j’avance.
C’est le seul intérêt pour moi, cette critique permanente, y compris lorsqu’elle peut être dure (sinon je me mets devant mon miroir et je me dis "tu es trop ffffooooorrrtte, tu as tttooouuuuuttt compris" et c’est bon ;-))
Je suis assez d’accord ( mais pas complètement) avec ton analyse marxiste (évidemment ;-)) de la déviation staliniste.
Pourtant, mais c’est un truc qui me chiffone généralement chez Marx, même si je ne le connais qu’imparfaitement, ce qui me dérange donc, c’est l’absence ou l’insuffisance de "liens" dans sa problématisation générale des classes, avec la notion d’individu (comme support vivant de l’idée même de classe) et celle de chef en particulier - peut être peux tu m’éclairer sur ce point précis ( ou un-e- autre camarade).
"Changer le monde, pour être plus libres, c’est souvent au final tricher et créer de nouvelles règles du jeu, irrespectueuses, qui partent toujours du contrôle serré et permanent de ce qu’on délègue."
Je suis on ne peut plus d’accord avec toi. Mais comment nous assurer de vouloir vraiment rompre avec cette tendance manifestement inhérente à la "nature humaine" ?...
A bientôt et très fraternellement
LL