Kouchner décide démocratiquement de changer le 1er ministre d’Irak
28 août 2007, 14:04
Ce que fait KOUCHNER, l’image qu’il tente de donner de lui dans la vie internationale ressemble fort à la posture de SARKOZY au niveau national. Je sais tout, j’ai mon avis sur tout, il n’y a qu’à m’écouter, j’ai la science infuse, et silence dans les rangs. Tel maître, tel valet dit la sagesse des nations. L’homme du clan BUSH installé à BAGDAD semble par trop dévalué ? Dehors ! J’ai un gars qui ferait mieux, et circuler, y’a rien à voir. Un coup de fil à CANDOLEZZA, la bonniche de la Maison Blanche, affaire réglée. Mais patatras !!! Le larbin se rebiffe, exige des excuses, et servilement, (Tiens, on ne parle curieusement pas d’un coupde fil de Mme Rice à Paris aptès la publicité donnée à cette sortie du French Doctor) B.K. mange son chapeau. Pour des maladresses moins graves, J.L. BORLOO s’est fait frapper sur les doigts, avec les conséquences de carrière que l’on sait. Mais ce qui est tout de même amusant dans cette histoire, c’ est que notre président est prisonnier de sa politique dite d’ouverture. Fourrer B.K. dans un placard où il n’aurait que de faibles possibilités de ridiculiser la France, c’est reconnaître que lui même a fait un choix mauvais. C’est proclamer que pour monter une combinaison politicienne à usage interne, il a assumer le risque de promouvoir l’incompétence. Tant pis pour lui. Quand , pour bâtir un ministère, on racle les fonds de poubelles de la Sociale Démocratie, on doit se satisfaire des remugles qui vous montent au nez.
Ce que fait KOUCHNER, l’image qu’il tente de donner de lui dans la vie internationale ressemble fort à la posture de SARKOZY au niveau national. Je sais tout, j’ai mon avis sur tout, il n’y a qu’à m’écouter, j’ai la science infuse, et silence dans les rangs. Tel maître, tel valet dit la sagesse des nations. L’homme du clan BUSH installé à BAGDAD semble par trop dévalué ? Dehors ! J’ai un gars qui ferait mieux, et circuler, y’a rien à voir. Un coup de fil à CANDOLEZZA, la bonniche de la Maison Blanche, affaire réglée. Mais patatras !!! Le larbin se rebiffe, exige des excuses, et servilement, (Tiens, on ne parle curieusement pas d’un coupde fil de Mme Rice à Paris aptès la publicité donnée à cette sortie du French Doctor) B.K. mange son chapeau. Pour des maladresses moins graves, J.L. BORLOO s’est fait frapper sur les doigts, avec les conséquences de carrière que l’on sait. Mais ce qui est tout de même amusant dans cette histoire, c’ est que notre président est prisonnier de sa politique dite d’ouverture. Fourrer B.K. dans un placard où il n’aurait que de faibles possibilités de ridiculiser la France, c’est reconnaître que lui même a fait un choix mauvais. C’est proclamer que pour monter une combinaison politicienne à usage interne, il a assumer le risque de promouvoir l’incompétence. Tant pis pour lui. Quand , pour bâtir un ministère, on racle les fonds de poubelles de la Sociale Démocratie, on doit se satisfaire des remugles qui vous montent au nez.