On ne se libèrera pas du capitalisme et donc de la condition du "salariat" grâce à "l’augmentation du salaire", ni grâce au "pouvoir d’achat", mais grâce au "pouvoir", et la lutte pour le salaire est une lutte pour notre pouvoir quand elle est défendue sur le terrain "interdit dans l’entreprise" :
"l’indépendance des syndicats" est un leurre cachant la dictature politique du patronat, et celle-ci se démasque (et contredit la religion de "l’indépendance"...), quand le MEDEF n’émet plus lui même que des revendications patronales POLITIQUES contre l’émancipation des prolétaires.
c’est à l’organisation politique des prolétaires de lutter politiquement pour tout ce qui donne plus de "puissance" aux prolétaires .
C’est la raison pour laquelle il ne faut rien attendre des "syndicats de classe" d’autre que le "dépassement" de leur crétinisme syndical par la "revendication politique interdite" :
Nous sommes, face aux "victoires POLITIQUES du camp des patrons" devant l’impuissance syndicale et dans l’attente d’une politisation massive des consciences devant l’évidence que rien de "viable " sera acquis pour les prolétaires sans lutte politique, en réponse à la lutte politique ouverte que s’est autorisé à conduire le patronat avec ses "appareils " (MEDEF et sa courroie de transmission sarkozyenne, désormais).
J’en conclus qu’il nous faut en face de ce MEDEF, non plus une CGT porteuse de son impuissance politique, mais un PARTI COMMUNISTE au combat exactement pour défendre le caractère "POLITIQUE" de la revendication prétendue uniquement "sociale".
La visée d’un tel "Parti", ce ne peut être "le socialisme", ce doit être des victoires "communistes" , c’est-à-dire "émancipatrices", de celles que l’on ne "consomme"pas pour s’endormir, mais dont on "s’alimente" pour en remporter d’autres, "jusqu’au bout" :
ce "bout", c’est "le devenir humain" , celui-là même que redoutent les patrons déshumainisés par leur mépris de l’avenir solidaire de "l’humanité".
On ne se libèrera pas du capitalisme et donc de la condition du "salariat" grâce à "l’augmentation du salaire", ni grâce au "pouvoir d’achat", mais grâce au "pouvoir", et la lutte pour le salaire est une lutte pour notre pouvoir quand elle est défendue sur le terrain "interdit dans l’entreprise" :
"l’indépendance des syndicats" est un leurre cachant la dictature politique du patronat, et celle-ci se démasque (et contredit la religion de "l’indépendance"...), quand le MEDEF n’émet plus lui même que des revendications patronales POLITIQUES contre l’émancipation des prolétaires.
c’est à l’organisation politique des prolétaires de lutter politiquement pour tout ce qui donne plus de "puissance" aux prolétaires .
C’est la raison pour laquelle il ne faut rien attendre des "syndicats de classe" d’autre que le "dépassement" de leur crétinisme syndical par la "revendication politique interdite" :
Nous sommes, face aux "victoires POLITIQUES du camp des patrons" devant l’impuissance syndicale et dans l’attente d’une politisation massive des consciences devant l’évidence que rien de "viable " sera acquis pour les prolétaires sans lutte politique, en réponse à la lutte politique ouverte que s’est autorisé à conduire le patronat avec ses "appareils " (MEDEF et sa courroie de transmission sarkozyenne, désormais).
J’en conclus qu’il nous faut en face de ce MEDEF, non plus une CGT porteuse de son impuissance politique, mais un PARTI COMMUNISTE au combat exactement pour défendre le caractère "POLITIQUE" de la revendication prétendue uniquement "sociale".
La visée d’un tel "Parti", ce ne peut être "le socialisme", ce doit être des victoires "communistes" , c’est-à-dire "émancipatrices", de celles que l’on ne "consomme"pas pour s’endormir, mais dont on "s’alimente" pour en remporter d’autres, "jusqu’au bout" :
ce "bout", c’est "le devenir humain" , celui-là même que redoutent les patrons déshumainisés par leur mépris de l’avenir solidaire de "l’humanité".
Al’1 d’Nant’