Denis Robert a décidé de ne plus s’exprimer à propos de Clearstream (video)
11 juin 2008, 19:09, par Simon
Voilà une preuve de plus que nous ne sommes plus en démocratie. Ceux qui ont le pouvoir, politique ou financier, en abusent en toute impunité.
Il est interdit d’enquêter, il est interdit d’être un vrai journaliste.
Je pense d’ailleurs à cette profession, incapable de s’autoréguler pour imposer une vraie éthique, et peuplée d’un nombre important de lécheurs de mocassins, sans odeur ni saveur, particulièrement ceux qui sont les plus en vue dans les médias.
Il y en a si peu, parmi les journalistes qui ont soutenu Denis Robert.
A ceux qui l’ont fait bravo.
Aux autres mon plus profond mépris.
J’ai peur aujourd’hui.
Nos institutions, comme la justice ou la police, sont dévoyées par un parti qui a glissé de la droite à l’extrême droite.
Aux policiers qui ont laissé sciemment deux enfants, Zyed et Bounia, se réfugier dans un transformateur la justice n’a rien à reprocher.
Les plus faibles, les malades et les malades mentaux sont abandonnés sur les trottoirs des villes.
Dans l’indifférence l’Europe oublie, au fonds des cachots ou au fond de la méditerranée, ceux qui viennent des pays pauvres.
Le courage n’est pas à la mode.
Merci Monsieur Robert, vous êtes un grand monsieur.
Voilà une preuve de plus que nous ne sommes plus en démocratie. Ceux qui ont le pouvoir, politique ou financier, en abusent en toute impunité.
Il est interdit d’enquêter, il est interdit d’être un vrai journaliste.
Je pense d’ailleurs à cette profession, incapable de s’autoréguler pour imposer une vraie éthique, et peuplée d’un nombre important de lécheurs de mocassins, sans odeur ni saveur, particulièrement ceux qui sont les plus en vue dans les médias.
Il y en a si peu, parmi les journalistes qui ont soutenu Denis Robert.
A ceux qui l’ont fait bravo.
Aux autres mon plus profond mépris.
J’ai peur aujourd’hui.
Nos institutions, comme la justice ou la police, sont dévoyées par un parti qui a glissé de la droite à l’extrême droite.
Aux policiers qui ont laissé sciemment deux enfants, Zyed et Bounia, se réfugier dans un transformateur la justice n’a rien à reprocher.
Les plus faibles, les malades et les malades mentaux sont abandonnés sur les trottoirs des villes.
Dans l’indifférence l’Europe oublie, au fonds des cachots ou au fond de la méditerranée, ceux qui viennent des pays pauvres.
Le courage n’est pas à la mode.
Merci Monsieur Robert, vous êtes un grand monsieur.