Regardons les choses en face : qui ne dit mot, consent. Les directions de partis, syndicats, associations... qui gardent le silence sur Cristina le font sciemment.
C’est la même situation qu’avec les frégates de Taïwan, vendues sous la "gauche" mais l’opération a été également couverte par la "droite" et les gouvernements se sont succédés sans qu’il ait été possible d’obtenir la moindre transparence.
Regardons les choses en face : qui ne dit mot, consent. Les directions de partis, syndicats, associations... qui gardent le silence sur Cristina le font sciemment.
C’est la même situation qu’avec les frégates de Taïwan, vendues sous la "gauche" mais l’opération a été également couverte par la "droite" et les gouvernements se sont succédés sans qu’il ait été possible d’obtenir la moindre transparence.
C’est grave.